sábado, 30 de abril de 2016
viernes, 29 de abril de 2016
INDIA: Ministro del Interior afirma que el PCI (maoísta) tiene vinculos con organizaciones en el extranjero.
correovermello-noticias
New Delhi, 27.04.15
El ministro del Interior de la India, Kiren Rijiju, afirmó que el Partido Comunista de la India (maoísta) tiene vinculos con organizaciones comunistas en el extranjero, señalando particularmente al Partido Comunista de Filipinas y a organizaciones turcas así como el respaldo de organizaciones maoístas europeas.
Las declaraciones del ministro vienen a continuación de la exitosa Semana Internacional de Apoyo a la Revolucion en la India promovida por el Comité Internacional de Apoyo a la Guerra Popular en la India y en la que se realizaron muchas y variadas acciones en muchos paises de America, Europa y Asia.
New Delhi, 27.04.15
El ministro del Interior de la India, Kiren Rijiju, afirmó que el Partido Comunista de la India (maoísta) tiene vinculos con organizaciones comunistas en el extranjero, señalando particularmente al Partido Comunista de Filipinas y a organizaciones turcas así como el respaldo de organizaciones maoístas europeas.
Las declaraciones del ministro vienen a continuación de la exitosa Semana Internacional de Apoyo a la Revolucion en la India promovida por el Comité Internacional de Apoyo a la Guerra Popular en la India y en la que se realizaron muchas y variadas acciones en muchos paises de America, Europa y Asia.
BRASIL: Novo crime dos latifundario en Buritis
MAIS DOIS CAMPONESES SÃO
COVARDEMENTE ASSASSINADOS EM BURITIS
Os irmaos
Nivaldo Batista Cordeiro e Jesser Batista Bordeiro foram covardemente
assassinados no dia 24-04-2016.
Seus corpos
foram encontrados boiando no rio Candeias a cinco kilometros de distancia do
lugar em que foram abordados.
Nivaldo deixou
esposa e quatro filhos pequenos.
A moto em que
viajavam estava suja de sangue. Isso leva a crer que eles foram baleados na
estrada enquanto viajavam e seus corpos carregados e desovados no rio candeias.
Ambos eram
acampados na Área 10 de maio, e haviam recebidos ameaças de morte do
latifundiario Caubi Moreira Quito, que em varias ocasioes afirmou que iria
matar todos os “sem terra antigos” do acampamento.
No dia 29 de dezembro
de 2014 Caubi informou ao delegado Renato Morari, de Ariquemes, que havia contratado
10 PM`s de Buritis para fazer a segurança armada de sua fazenda.
Policiais Militares
de Buritis fizeram diversas tentativas de reintegraçâo de posse na Área 10 de
Maio sem ordem judicial.
Esse crime tem todas
as caracteristicas dos crimes praticados por policiais. Os camponeseses sairam
de casa no domingo cedo, à luz do dia, em uma estrada muito movimentada. Foram assassinados em um lugar e seus corpos
encontrados em outro. Pistoleiros não teriam como fazer tal operação sem chamar
a atenção.
Moradores da
região informaram ter visto o Comandante da PM de Ji-Paraná, Braguim, fazendo
blitz nas imediaçoes; outros camponeses da Área 10 de Maio relataram terem sido
perseguidos pelo helicóptero onde estava o PM Braguim que sadicamente parecia
estar brincando de videogame com o helicóptero amedrontando os camponeses.
Estes crimes são
a proposta do Estado para acobertar a grilagem de terras pelos latifundiarios:
matar camponeses e acobertar os assassinos.
Como sempre a
imprensa vendida nada diz sobre os crimes da pistolagem contra os camponeses.
Os camponeses
estão acumulando revolta devido a mais uma ação covarde de agentes do Estado em
conluio com os bandos armados dos latifundiarios.
Esse crime não
ficará impune, os camponeses não vão desistir de lutar pela terra, nem com todoo
o terror perpetrado pelos agentes do Estado.
Companheiro Jesser, presente na
luta!
Companheiro Nivaldo,
presente na luta!
Viva a luta pela terra!
Terra para quem nela vive
e trabalha.
Liga dos Camponeses Pobres
de Rondonia e Amazonia Ocidental !
Comissao de moradores da Área
10 de Maio.
miércoles, 27 de abril de 2016
TURQUIE ET KURDISTAN NORD: Vaste opération de police contre le journal Özgür Gelecek et le Partizan.
La chasse aux opposants continue en Turquie. Déjà très remarqué par les opérations contre les journalistes étrangers cette semaine, le gouvernement turc continue en arrêtant des journalistes du journal d’opposition Özgür Gelecek, ainsi que des dizaines de militant.es du Partizan. Il déclare avoir effectué cette opération contre le TKP/ML, organisation révolutionnaire très active ces derniers temps, ainsi que contre sa guérilla le TiKKO.
Istanbul : La police a effectué une vaste opération d’arrestation contre les journalistes du journal Özgür Gelecek et le Partizan ; alors que 3 journalistes sont interpelés, un grand nombre de travailleurs du journal et de militants du Partizan sont mis en garde à vue.
Ce matin à 5h00 à Istanbul, plusieurs perquisitions ont été effectuées au même moment contre les journalistes et les distributeurs du journal Özgür Gelecek. Les interpelé.es ont été placé.es en garde à vue.
Dans cette opération, que le Département Politique déclare avoir organisé contre le TKP/ML – TiKKO, les journalistes Sevil Doğan et Rahime Karvar ont été arrêtées. Avec elles, un autre journaliste d’Özgür Gelecek, Tufan Çiçek, a été interpelé à Erzurum.
Perquisitions simultanées dans plusieurs districts d’Istanbul
D’après les premières informations, des perquisitions simultanées ont eu lieux dans les quartiers de Kartal, Sarıgazi, 1 Mayıs, Gülsuyu, Avcılar, Esenyurt- Kıraç et Bahçelievler. Un grand nombre de journalistes d’Özgür Gelecek et de militant.es du Partizan ont été interpelé.es.
Les noms de ces personnes nous sont parvenues : les journalistes Sevil Doğan, Rahime Karvar et Tufan Çiçek ; les militant.es du Partizan Aysel Kaya Vurucu, Müslüm Cevahir Vurucu, Gülhanım Aslandoğan, Ali Yetgin, Himmet Yıldız,Fatma Kuşçu, Necati Arslan, Veysel Arslan, Ergül Akyol, Can Çarpar, Ekin Babacanoğlu, Gökhan Sarıtoprak, Mehmet Ay, Gökhan Uzun, Adilcan Özdoğan, Bulut Doğan, Özer Çorlu ; un jeune du YDG Soner Dobriç et un membre de l’ESP Aysun Çelik.
Les informations fournies par les avocats attestent de la décision de placement en détention pour 29 personnes.
Plusieurs personnes recherchées n’ont toujours pas été interpelées.
Les interpelé.es ont toutes et tous été emmené.es au Département de la Sécurité Intérieure.
Traduit de: http://www.ozgurgelecek.org/manset-haberler/20090-oezguer-gelecek-gazetesi-calanlar-ve-okurlarna-ev-baskn.html
domingo, 24 de abril de 2016
FRANCE: Nuit Debout ou à genoux ? Parti Communiste Maoïste.
Le
mouvement des occupations de places publiques, parti de République à
Paris, s’est étendu dans de nombreuses villes à travers le territoire :
le mouvement s’est dans un premier étendu à d’autres villes que Paris
puis s’est étendu en banlieue dans des villes telles que Saint-Denis,
Saint-Ouen ou Aubervilliers. Prenant place dans le cadre de la
mobilisation contre la loi Travail, le mouvement Nuit Debout a plusieurs
caractéristiques, dont certaines contradictoires. Nous allons essayer
d’en voir les différents aspects tout en considérant que les Nuits
Debout revêtent des aspects différents suivant les endroits où elles se
tiennent.
La nature de Nuit Debout
Premièrement, quel type
de mouvement est Nuit Debout ? Le mouvement à l’initiative entre autres
de Lordon et François Ruffin sous le mot d’ordre de convergence des
luttes s’inscrivait dans le cadre de la lutte contre la loi travail.
Mais à vrai dire si on interroge les participants et participantes, on
s’aperçoit qu’ils n’ont pas tous et toutes la même vision du mouvement.
En gros, on peut catégoriser deux grandes tendances, qui s’entrecroisent
pour certains :
-
un mouvement citoyen, pas partisan, hors des partis et des syndicats, un mouvement pacifiste.
-
un mouvement de masse, complémentaire aux manifestations et permettant d’autres formes de mobilisation.
Dans ce cadre, certains
le voient uniquement comme une tribune permettant de diffuser leurs
idées. Ne donnant pas un objectif clair aux Nuits Debout, celles-ci sont
pour certain juste un moyen d’exprimer leurs lubies soient elles le
plus déconnectées de la réalité ou ouvertement conspirationnistes.
D’autres participent avec enthousiasme à un espace où l’on se retrouve
simplement pour discuter et agir avec des gens qui pensent à priori
« comme nous », qui le voient comme un espace d’espoir et de liberté.
La première version,
citoyenniste, c’est celle que BFMTV nous sert 24H/24H et que tous les
soi-disant apolitiques essayent d’incarner un peu partout. C’est la
version sur laquelle s’appuie le gouvernement et les partis et
organisations politiques institutionnelles pour soutenir « l’élan
citoyen » et le récupérer, s’appuyant sur leurs « idiots utiles ». Cette
version là des Nuits Debout sert à isoler les révolutionnaires et
celles et ceux qui veulent pousser la lutte un cran au dessus au travers
des Nuits Debout. C’est là-dessus que s’appuie Cambadélis, premier
secrétaire du PS, lorsqu’il déclare qu’il faut des « CRS Debout qui seront là pour faire en sorte que les violences ne viennent pas perturber ceux qui veulent discuter. »
Ainsi dans cette vision
là, Nuit Debout devient une tribune géante où chacun est libre
d’exprimer tout ce qu’il veut, d’où le reproche de certains que Nuit
Debout ressemble à une thérapie de groupe. Le but de Nuit Debout ne
serait plus la lutte mais d’être la « véritable démocratie ». C’est avec
cela qu’ils disent que tout le monde quelque soit ses idées politiques
est le bienvenue et qu’il faudrait respecter une liberté d’expression
quasi-totale.
C’est également sur
cette vision là que s’appuient les orateurs conspis déblatérant leur
lutte antisémite contre le « nouvel ordre mondial » ou encore les
partisans d’Etienne Chouard, qui veulent à tout prix nous servir leur
soupe de « nouvelle constitution ». Attardons nous un peu sur ces
derniers, car c’est avec cette frange là que nous avons eu le plus de
problèmes.
Beaucoup expriment la
revendication d’une « démocratie réelle ». Dans l’idée de Chouard ou de
Mélenchon, ils disent vouloir écrire une nouvelle constitution, plus
juste, plus démocratique. Pour eux la source de nos problèmes serait la
5e République, sa constitution et ses lois. Quand
nous parlons de lutte dans les assemblées, ceux là nous parlent
d’apaisement et de regroupement, notamment autour d’une hypothétique
« constitution ». Il faudrait qu’ils comprennent qu’un bout de papier ne
prend de l’importance que lorsqu’il est incarné dans la réalité. Les
lois bourgeoises n’ont d’importance que parce qu’elles sont incarnées
par les flics, les tribunaux et les juges. En parlant de « citoyens »,
on efface la contradiction principale de la société capitaliste,
c’est-à-dire la contradiction de classe. Le problème n’est pas que la
démocratie actuelle est « fausse » mais bien qu’elle est bourgeoise,
c’est-à-dire qu’elle est un outil de la dictature du capital. Face à
cette démocratie on ne peut pas opposer des papiers, des nouvelles
constitutions ou des projets de société idéale tel que le faisaient les
socialistes utopiques au 18e siècle. Face à la démocratie bourgeoise, on
oppose l’organisation du prolétariat autour de la classe ouvrière pour
lutter implacablement contre le capitalisme.
S’appuyant sur leur
négation de la lutte de classe, on nous dit que le mouvement devrait
tendre les bras aux flics et travailler avec eux pour que tout se passe
bien. De même, après un petit vernis de critique des médias, il faudrait
absolument renoncer à toute action qui nous décrédibiliserait à leurs
yeux. Et surtout on risquerait d’être réprimés parce qu’on ne
respecterait pas les règles… Bref, tous les arguments non d’une Nuit
Debout mais d’une vie à genoux !
Ceux là vont jusqu’à
nier la répression policière (ou pire l’encourager comme lorsque des
« responsables » de Nuit Debout à République ont appelé les flics samedi
soir dernier) et rejettent la faute de la répression sur les
occupants…enfin dans leurs bouches c’est plutôt les casseurs, les
provocateurs, les éléments violents, bref, les « mauvais manifestants ».
Ce discours amène de la part des organisateurs à toujours plus de
collaboration avec les forces policières, récemment la préfecture de
police de Paris a fait un communiqué pour saluer les efforts de
collaboration de Nuit Debout avec la police suite aux « violences » des
nuits précédentes, ce communiqué a été immédiatement relayé par le
compte twitter de Nuit Debout.
Occupy, Podemos, Syriza sont-ils des modèles ?
Parmi celles et ceux
qui rejettent le fait que Nuit Debout soit un mouvement apolitique,
beaucoup voudraient que ce soit un outil pour rassembler la gauche par
la base, en dehors des partis et syndicats. Ils s’inspirent du mouvement
d’occupation de places qui a eu lieu en Espagne avec les indignés par
exemple, ils évoquent aussi le mouvement Occupy aux Etats-Unis et pour
certain le rassemblement de la « gauche radicale » en Grèce avec Syriza.
Selon eux, ce serait
des exemples de réappropriations de la politique par la base et une
alternative aux partis traditionnels en déroutes. Néanmoins si l’on
analyse ce qui s’est passé en Espagne ou en Grèce on s’aperçoit vite que
ce ne sont pas des modèles à suivre. Ceux-ci ont débouché sur la
création de nouveau parti proposant une social-démocratie radicale face à
la défaite de la social-démocratie traditionnelle. Ainsi tous les
efforts ont été consacrés à la participation électorale, en vendant
l’illusion que l’on pourrait transformer le capitalisme de l’intérieur.
On a pu voir en Grèce que Syriza a été incapable de s’opposer aux
exigences des bourgeoisies européennes.
On en revient à la conclusion que Marx avait dressé dans La Guerre civile en France
écrit en 1871 et revenant sur l’expérience de la Commune de Paris : le
prolétariat ne peut pas se contenter de reprendre la machine d’Etat et
la faire tourner à son compte mais il doit détruire de fond en comble
l’Etat bourgeois pour mettre en place la dictature du prolétariat. Ainsi
les aspirations du prolétariat ne peuvent s’épanouir qu’à travers une
révolution, une révolution violente et non une révolution « citoyenne »
qui par définition n’est pas prolétarienne ou une « révolution par les
urnes ».
Si le rejet et le
dégoût des partis politiques institutionnalisés est quelque chose tout à
fait légitime, ce n’est pas la création d’un nouveau parti électorale
éclectique qui est la solution. La classe ouvrière et tout le
prolétariat a besoin d’un Parti pour la mener la révolution, ce Parti
doit représenter ses intérêts, il doit défendre une stratégie
révolutionnaire et une ligne politique claire, il doit s’appuyer sur
l’idéologie du prolétariat à notre époque, c’est-à-dire le
marxisme-léninisme-maoïsme.
Nuit Debout peut-il être un outil de lutte de classe contre la Loi Travail ?
Si l’on regarde la
composition de Nuit Debout, principalement à Paris, on s’aperçoit que
c’est principalement la petite bourgeoisie ainsi que les étudiants et
étudiantes qui sont mobilisés. La forme même de Nuit Debout ne permet
pas une réelle mobilisation des travailleurs et travailleuses. Après une
longue journée de travail, il n’y a pas le temps de passer la Nuit
Debout, il n’y a pas l’énergie d’écouter des discours de toutes sortes
pendant des heures pour finalement parler trois minutes. Cela vaut
principalement pour la Nuit Debout à la place de la République et se
ressent moins en banlieue. Si on regarde le mouvement Nuit Debout en
banlieue on s’aperçoit qu’il a principalement mobilisé le mouvement
associatif et une partie du mouvement syndical mais qu’il peine à
élargir, on retombe donc souvent dans un cercle de militants déjà connu
et habitué à prendre la parole.
Ainsi à travers ce
rapide tableau, nous voyons déjà les limites du mouvement Nuit Debout
néanmoins Nuit Debout, ce n’est pas que ça et des aspects positifs
doivent être soulignés et appuyés. En dehors de toute une frange qui
semble ne pas vivre dans le même monde que nous, sûrement parce qu’ils
et elles n’ont jamais mis les pieds sur un chantier dans une usine,
n’ont jamais vécu en quartier populaire, n’ont jamais accumulé les
boulots précaires, n’ont jamais subi de répression policière, n’ont pas
vu leurs amis sans papiers risquer la déportation, n’ont jamais vu des
expulsions locatives,…(est ce bien possible ?), bref, qui ont l’air de
regarder le monde autour d’eux à travers des lunettes arc-en-ciel, il y a
aussi celles et ceux qui tentent d’animer les Nuits Debout d’un esprit
de lutte.
C’est cette frange là
qui pense aussi que les manifs plan-plan ne nous permettront jamais à
elles seules de gagner quelque bataille que ce soit. C’est de là qu’ont
émergé les actions les plus intéressantes de Nuit Debout, notamment les
commissariats assiégés par plusieurs centaines de personnes pour libérer
les camarades arrêtés ; la solidarité avec les migrants ; la solidarité
avec les cheminots au travers de l’occupation de gares ; etc.
Mais il faut bien voir
que stratégiquement, les Nuits Debout sont un peu comme les manifs,
elles ne servent à rien si elles ne permettent pas à la lutte de
franchir un cap. Ce qui est déterminant, c’est comment la classe
ouvrière se mobilise dans cette lutte, à quel degré de confrontation est
elle prête à aller. En d’autres termes, comment le mouvement avance
vers une grève générale avec blocage et occupation des outils de
production, de distribution et de communication, en osant s’opposer
frontalement à la bourgeoisie. C’est ce qui est décisif dans la lutte de
classe. Est ce que les Nuits Debout permettront cela ? Ce n’est pas
impossible mais peu probable en l’état, cela nécessiterait une
transformation radicale du mouvement avec un objectif clair.
Il est plus réaliste de
considérer ce mouvement comme ce qu’il est : un mouvement dont la ligne
politique est loin d’être claire et dont la base sociale est partagée
entre majoritairement petite bourgeoisie puis une partie plus faible du
prolétariat, mais qui peut permettre aux révolutionnaire de regrouper
autour d’eux ; un outil en supplément des manifs mais qui ne se suffit
pas à lui même. Cela ne pourra se faire qu’en y menant la lutte en
posant la ligne de démarcation, en se détachant de la ligne citoyenniste
qui essaye de concilier des intérêts inconciliables. Nous devons
expliquer la dynamique de la lutte de classe, les intérêts
inconciliables qui sont la base de la société et le rôle de l’État et de
toute la superstructure issue du capitalisme. Nous devons rejeter le
processus qui pense qu’écrire une nouvelle constitution est plus
important que de développer la lutte. Nous devons mettre en place des
actions concrètes. Nous devons donner un but clair au mouvement : le
retrait de la loi travail dans un premier temps. Non pas car la Loi
Travail serait la source de tout nos problèmes. Nous savons toutes et
tous que celle-ci n’est qu’une loi anti-ouvrière et anti-populaire de
plus de ce gouvernement après l’ANI, le pacte de responsabilité, la loi
macron. La nécessité de mener une lutte résolue contre la loi travail
vient du fait que notre classe a enchaîné les défaites depuis la défaite
contre la réforme des retraites : seule une victoire peut nous faire
dépasser le stade de la défensive pour essayer de gagner de nouveaux
acquis. Ce n’est que comme ça que nous parviendrons à regrouper la
partie de Nuit Debout qui veut faire passer la lutte de classe à un
niveau supérieur, par la discussion et surtout l’action, tout en ayant
en tête toutes les limites de ce type de mouvement.
Celebrando el 146 aniversario del nacimiento del camarada V.I. Ulianov "Lenin"
146 años del nacimiento de Lenin
Artículo de Cultura Proletaria
El 22 de abril de 1870, al este de Rusia, en Simbirski, actual
Ulianovsk, nacía el gran teórico y dirigente del proletariado mundial,
jefe de la Revolución de Octubre, fundador del Partido
Comunista(bolchevique) de la URSS, de la Internacional Comunista y del
primer Estado bajo la dictadura del proletariado, Vladimir Ilich Lenin.
Toda su vida, desde la juventud, está intimamente ligada a la política,
ya que, desde muy temprano, sintió la necesidad de luchar contra la
miseria en que vivía su pueblo, en particular los trabajadores. A los 18
años, Lenin encontró el camino correcto; el que señalaban Marx y
Engels, creadores del socialismo científico. Exiliado, después de haber
sido detenido por participar en manifestaciones políticas estudiantiles,
entre 1888 y 1889, Lenin estudió “El Capital” y se unió a un círculo marxista.
Pero Lenin no sólo había encontrado su camino, sino que luego se
convertiría en un líder revolucionario, luchando contra los llamados
“populistas”, señalando las directrices para la liberación de la clase
obrera, definiendo su misión como fuerza revolucionaria de vanguardia de
la sociedad, así como la misión de los campesinos en calidad de aliados
del proletariado.
En 1895, Lenin difunde las bases del Partido obrero marxista, unificando
todos los círculos marxistas de Petersburgo y fundando la “Unión de
lucha por la emancipación de la clase obrera”. En diciembre de ese mismo
año es detenido y deportado a Siberia. A comienzos de 1900, Lenin
volvió del destierro y se exilió en el extranjero, donde creó el primer
periódico de los marxistas revolucionarios rusos llamado “Iskra”.
Durante los años de guerra imperialista de 1914-1918, elaboró la teoría y
la táctica del Partido bolchevique en los problemas de la guerra,
publicando en 1916 su famosa y clásica obra “El imperialismo, fase
superior del capitalismo”, en la que desenmascara el carácter
imperialista y de rapiña de la guerra desencadenada por los países
capitalistas más desarrollados por el reparto del mundo. Ahí fundamenta
la ley, descubierta por él, del desarrollo desigual de los países bajo
el régimen imperialista, demostrando que el imperialismo es el
capitalismo agonizante, el preludio de la Revolución Socialista.
Fue también, en esa época, que Lenin lanzó la consigna revolucionaria de “la transformación de la actual guerra imperialista en guerra civil es la única consigna proletaria justa“.
Señaló a los jefes de la II Internacional que habían traicionado a la
clase obrera bajo la máscara de “defensa de la patria”, que significaba
defensa de la dictadura de la burguesía sobre el proletariado.
Esta fue una de las contribuciones más decisivas de Lenin para la
Revolución socialista en todo el mundo. En 1917, Lenin, al lado de
Stalin, llevaría a la práctica aquella consigna, transformando la guerra
imperialista en guerra civil contra la burguesía rusa y llevando a la
clase obrera de su país a la victoria.
Hoy, sus enseñanzas sobre la lucha antiimperialista deben estar presentes en cada luchador proletario.
ITALIA: RIAPPROPRIAZIONE DI IERI AL SERVIZIO DEL CHE FARE DI OGGI... PER UNA NUOVA RESISTENZA
pc 24 aprile - RIAPPROPRIAZIONE DI IERI AL SERVIZIO DEL CHE FARE DI OGGI... PER UNA NUOVA RESISTENZA
Si può richiede anche on line a: pcro.red@gmail.com |
Dall'Introduzione:
"...Per qualsiasi rivoluzionario che si ponga coerentemente l’obiettivo di rovesciare questa società capitalista, questo stato imperialista e questo governo moderno fascista la riappropriazione è ancora più necessaria e non può avvenire sul piano simbolico bensì su quello reale/organizzativo/ideologico.
Bisogna innanzitutto riappropriarsi dei fatti storici depurati dall’elemento della propaganda borghese/revisionista che presenta la Resistenza Antifascista come una lotta di liberazione dall’oppressore con il fine di instaurare la democrazia borghese ovvero un ulteriore regime di oppressione della classe lavoratrice... fino a ribaltare la storia dipingendo i partigiani come assassini e assetati di sangue e codardi al soldo di qualche progettualità aliena al popolo italiano (letture infami e infamanti diffuse a livello di massa da Gianpaolo Pansa a Spike Lee solo per citare due nomi noti).
Secondariamente capire cosa nella RA italiana abbia avuto un carattere contingente/particolare e cosa abbia caratteristica di ri-proponibilità/universalità.
Infine, capito ciò, viene la fase del “che fare?”, a cosa serve la RA per poter dare vita ad una nuova resistenza (NR) che spazzi via lo sfruttamento della classe dominante in Italia sulle masse popolari, che recida i legami del nostro paese con l’imperialismo internazionale e che metta fine all’imperialismo italiano fonte di miseria e distruzione nel mondo, che faccia dell’Italia un nuovo paese socialista in marcia verso una nuova società al fianco del proletariato internazionale e dei popoli oppressi?
Con questo animo arriva questo contributo scaturito dalla lettura di uno dei tanti libri che è doveroso/necessario riprendere per portare a termine questo processo di riappropriazione quanto meno nella sfera della conoscenza ma sempre nell’ottica che sia al servizio del fare..."
viernes, 22 de abril de 2016
BRASIL: O espetáculo da crise e as causas da crise. Unha analise do camarada Fausto Arruda.
O espetáculo da crise e as causas da crise
Artigo da Página 3 da edição 168 do jornal A Nova Democracia
Fausto Arruda
Patético! Mas é difícil saber o que foi mais: se a histeria dos oradores de ambos os lados da pugna na sessão da câmara, ou se a ufania cínica da cobertura “jornalística” do monopólio da imprensa. Cômicas as cenas de deputados votando pelo impeachmentalegando defesa da moralidade e da democracia. Simplesmente ridículo as comparações entre a proposição do impeachment com os acontecimentos dramáticos de 1964 pelos deputados governistas. Insultante os deputados invocarem pelos nomes de mulheres e homens honrados que verteram seu sangue na luta contra o regime militar fascista ao proferir seus votos em defesa de um governo medíocre de gente renegada da causa pela qual estes heróis do povo sacrificaram suas vidas. Revoltante assistir reacionários de carteirinha acusar de comunistas os traidores da revolução.
Triste
mesmo é ver contingentes massivos da população brasileira, que em sua
justa indignação com toda esta situação de desmandos saem às ruas para
expressar sua revolta e alentar esperanças de mudanças, caírem como
vítimas fáceis da manipulação grosseira por parte dos monopólios de
comunicação — Rede Globo à cabeça — e
serem usados como massas de manobras para dar legitimidade aos arranjos
que mais convém e interessa às classes dominantes, para salvar suas
instituições e assegurar a manutenção deste apodrecido sistema de
exploração e opressão.
Nestes
dias de agravamento e generalização da crise no país, nossos ouvidos
são entupidos diuturnamente de todo tipo de charlatanice sobre
democracia, moralidade e justiça. E saem da boca dos dois lados que se
digladiam desesperadamente pelo controle da direção do velho e corrupto
Estado brasileiro.
Servindo-se do clamor das ruas — expresso na indignação de amplos setores da população, já enojados com as práticas putrefatas da velha política —,
a chamada “oposição” (PSDB, DEM, as demais siglas de aluguel e agora a
maioria de deputados do PMDB que pulam do barco que afunda), useira e
vezeira das mesmas práticas corruptas, joga com tudo para depor o
governo petista.
Por
sua vez, o PT e sua “frente popular” oportunista eleitoreira, que nunca
compreendeu o conceito científico de democracia e não demorou para
adotar o dogma burocrático e vazio de democracia predicado pela
burguesia, serve-se da mesma verborreia para denunciar a oposição como
golpista. Foi o PT que decidiu se afastar de todo e qualquer vestígio de
ideias revolucionárias*, mas nunca teve qualquer vínculo verdadeiro com
o marxismo, o que ele mesmo rapidamente se encarregou de deixar
patente.
Foi
o PT que deliberou que seu “projeto socialista” seria alcançado via o
velho Estado de grandes burgueses e latifundiários, a serviço do
imperialismo, principalmente ianque, e todo seu apodrecido sistema
político de governo, com sua farsa eleitoral embelezada como a menina
dos olhos da democracia. Mais que isto, trocou o radicalismo retórico de
seus pelegos e professores trotskistas pelo surrado discurso reformista
de “projeto de desenvolvimento para o Brasil”, donde seus intelectuais
pequeno-burgueses pariram a mediocridade teórica de “desenvolvimentismo
popular”. Tudo como manto para encobrir sua condição de mero
gerenciamento de turno do velho Estado corrupto e genocida, das classes
dominantes locais e do imperialismo.
Foi
o PT e seu corifeu mor, com o poder subido à cabeça, que justificou e
reforçou todos os mecanismos jurídicos e aparatos repressivos do Estado.
Criaram novos aparatos repressivos, lançando-os contra os camponeses e
indígenas em luta pela terra e a tão propalada “pacificação das
favelas”, com a instituição das famigeradas e genocidas UPPs. Foi o PT,
fazendo eco à reação oligárquica nos aparelhos do judiciário e dos
monopólios da imprensa, que elevou a criminalização dos movimentos
populares, ademais da cooptação dos que o serviam, a uma escala só
comparável com os períodos de regimes militares fascistas. Foi o governo
do PT/Dilma que, repetindo a mesma linguagem reacionária dos generais
do regime militar, taxou as manifestações de 2013 de “baderna”, ao tempo
que alardeava que a “democracia era uma realidade consolidada no país”.
Foi o PT que se calou e justificou toda a criminalização, prisões,
processos e condenações dos jovens participantes das manifestações de
2013 e 2014. Foi o PT/Dilma que enviou ao Congresso — que a aprovou recentemente — a “lei antiterrorismo”.
Agora,
pego em flagrante nas trapalhadas e práticas niveladas na vala comum da
politicalha nacional, a corrupção, grita por socorro por salvar-se
ameaçado que está o seu governo, pelos artifícios da política
semicolonial, como o da “responsabilidade fiscal”, entre outros
procedimentos reacionários que ajudou a fortalecer ou a criar. A disputa
eleitoreira com a oposição, partidos e candidatos que se lambuzaram com
propinas e negociatas, foi transformada numa contenda de hipocrisia sem
fim pela moralização, quando todas as instituições deste Estado
burocrático, ao nível dos três poderes, são uma história só de desmandos
e corrupção.
E
o PT e seus carrapatos revisionistas, como o PCdoB, repetem a exaustão
que é “uma perseguição política das elites que não se conformam com um
governo que fez muito para os pobres” ou blá-blá-blá parecido. O fato de
que todo o cacarejo anticomunista e apologista do deus mercado, de seus
falcões do monopólio da imprensa e da direita rançosa aproveitarem a
ocasião para alardearem-se, servindo do selo que o PT e seus congêneres
aplicaram a si mesmos de “esquerda” e até, pasmem, de “comunistas”, só
tem relação com o fato de que, no tempo do regime militar fascista,
muitos dos que compõem estas siglas foram de esquerda. Mas que renegaram
completamente do marxismo com a ofensiva geral da contrarrevolução
desatada nos anos de 1980, com Gorbachov e sua podre perestroika ao
mando. Inclusive, não foram poucos e poucas, dentre proeminentes
figuras da política oficial de hoje, que, para salvar a própria pele,
delataram seus companheiros para os facínoras do regime militar.
A base de toda a crise atual
Caracterizar
a atual polarização como entre esquerda e direita, entre golpistas e
democratas, é puro engano e interessa somente ao PT e sua frente por um
lado e, por outro, ao PSDB de Aécio e os entulhos de extrema-direita à
guisa de voltar à cena política do país. A imensa maioria das massas que
vão às ruas protestar e são arrastadas nesta polarização, na verdade,
rechaçam a todos estes partidos e suas práticas. Além do que, o discurso
chantagista para constranger as pessoas de bem a tomar o seu lado, só
serve para reforçar a ideia atrasada e falsa de que a única forma do
Brasil progredir ou melhorar, um pouco que seja, é através da via
institucional, ou seja, através de sucessivos governos de uma ou outra
coligação das siglas do Partido Único.
Não,
senhores! A atual polarização como está alardeada é uma farsa, pois é,
simplesmente, a polarização entre grupos de poder representantes das
frações das classes dominantes. A pugna entre eles se agudizou porque a
crise econômica conduz a um agravamento das disputas entre as frações
das classes dominantes e se expressa através da luta entre os diferentes
grupos de poder ou siglas partidárias.
Vamos
ao grão da questão: tomemos a anatomia econômica do nosso país. Toda
esta situação de crise política a que chegou o país tem uma base
econômica. A base econômica da atual crise política é a crise econômica do país,
cujas causas são determinadas, em primeiro lugar, por sua natureza
semicolonial/semifeudal, de seu capitalismo burocrático atrasado e, em
segundo lugar, como reflexo da crise geral do imperialismo,
particularmente da crise desatada no USA, em 2008, e que segue rondando o
mundo atolado em depressão. E é esse capitalismo de bases podres e
relações anacrônicas, mas embrulhadas em brilhantes embalagens como
forma de seguir servindo aos interesses do capital financeiro e ao
imperialismo. Decorrência disto — por mais que possam maquiar as relações e estruturas econômicas e políticas — o
aparelho estatal necessário em assegurar a ordem estabelecida, de
tempos em tempos, revela sua verdadeira natureza apodrecida, em que a
corrupção é tão somente uma das formas inevitáveis de seu funcionamento.
E
sendo a crise de todo o sistema imperialista, seus reflexos em países
como o nosso chegam a ser devastadores para a economia nacional, dada à
sua fragilidade de economia semicolonial. Portanto, a crise econômica do
país não se deve exatamente a que o gerenciamento de Dilma teria
cometido erros de gestão. Dilma, como Luiz Inácio e os demais governos
anteriores, fizeram o que lhes foi ditado pelo “mercado”, pelos
banqueiros, pelas corporações, por Wall Street, enfim, pelo
imperialismo. Esta acusação é também demagogia de candidatos à sua vaga
na presidência e manejo canalha que comanda a Rede Globo e seus
especialistas em tudo, os quais, outro dia mesmo, enchiam a bola de
Dilma e seu governo.
O
gerenciamento Dilma, tal qual de Luiz Inácio, aplicou em todos os
termos o receituário do imperialismo ditado pelo FMI e o Banco Mundial. A
única diferença com o gerenciamento do PSDB/FHC é que fizeram um pouco
mais de “programas sociais”, liberaram e fizeram uma verdadeira farra do
crédito ao consumidor para criar uma classe média “feita no fiado” e
para a propaganda massificante de um “empreendedorismo” tal que não é
mais do que um simulacro fuleiro do “modo de vida americano”. Enfim, políticas que, num país como nosso, só podem ocorrer como pura charlatanice e covarde ilusão das massas.
E
isto não pode ser considerado como nenhum conceito de melhoramento de
condições de vida, minimamente decente. Tampouco seus executores podem
reclamar autoria sobre os mesmos, pois que não há nada de original
neles, são orientações do imperialismo já velhas e surradas nos manuais
do Banco Mundial. O que deve, sem dúvida, enervar os chefes
imperialistas frente tanta inépcia, ineficiência e corrupção de seus
lacaios. Neste caso, os gerenciamentos do PT pareciam que ganhariam nota
10 da côrte, só que no quesito corrupção… No dia da posse do primeiro
mandato presidencial de Luiz Inácio, Delfim Netto, personagem que
dispensa qualquer apresentação e que, à época, desempenhava-se de
“assessor de economia” de Luiz Inácio, foi indagado sobre o que achava
que seria o governo de Luiz Inácio e do PT, ao que respondeu curto e
grosso: “Será mais do mesmo”.
O
que o PT, com Luiz Inácio e Dilma, fez enquanto aplicava tudo de
essencial do receituário imperialista, foi maquiar contabilmente a
situação econômica e usar outros artifícios para retardar ao máximo as
consequências de uma crise. E pôde ainda contar com a variante de que os
preços das commodities experimentavam
uma forte alta. O gerenciamento do PT só não privatizou mais porque
FHC, que chegara na frente, não deixara tanto por fazer em matéria de
entreguismo do patrimônio nacional.
“Estado democrático de direito”
e Nova Democracia
Num
país como o nosso, as liberdades democráticas, e não a quimera de
“Estado democrático de direito”, foram conquistadas e sempre defendidas
pelas massas trabalhadoras, por isto mesmo estão permanentemente
ameaçadas por esta ordem de exploração vigente. Esta ameaça se agravou
muito no período recente, exatamente porque encontrou terreno nas
trapalhadas do PT. O descontentamento de amplos setores das massas com o
joguete eleitoral, com as mentiras com que se opera a farsa eleitoral e
a piora das condições de vida se revelaram logo após a vitória
eleitoral de Dilma. Atiçado pelo monopólio da imprensa de forma
demagógica, o que, na maioria das vezes, só é percebido em sua aparência
por grande parte da sociedade, este descontentamento foi, ao mesmo
tempo, aproveitado pela reação sempre alerta, principalmente no
judiciário e mesmo por aqueles seduzidos com a ilusória possibilidade de
se eliminar ou reduzir a corrupção pelas vias punitivas do rigor das
leis. Mas, o PT, em seus devaneios apologéticos do que aí está como
democracia consolidada, foi o primeiro a exorbitar em autoritarismos,
levantou uma pedra para deixá-la cair nos próprios pés. Paciência!
E
claro, qualquer desfecho que tenha e, como tende a ser, o da posse de
Temer na presidência, o ato seguinte será o de aplicar da forma que seja
necessária o pacote de ajustes mais draconiano e devastador para as
massas empobrecidas do campo e da cidade e para o patrimônio da Nação. E
o alvo da cobiça das corporações são os direitos trabalhistas, a
Previdência Social, a “reforma agrária” (mesmo esta de papel que aí
está) e as secularmente saqueadas riquezas naturais do país. Este é o
conteúdo de dito pacotaço e contra a revolta das massas que se
levantarão contra o governo. Este usará todo o arsenal fascista do
“Estado democrático de direito”, inclusive os aportados pelo PT como a
“lei antiterrorismo”, e todo tipo de criminalização da luta das massas e
seus batalhões de assassinos aquartelados nas PMs e demais órgãos
repressivos.
Isto
nós vamos assistir, bem como veremos o inevitável levantamento da luta
de resistência dos trabalhadores nas cidades e dos camponeses pela
conquista da terra a quem nela vive e trabalha. A crise política não
cessará, seja qual for o desfecho da queda de braço pelo controle do
governo.
Impulsionar
o protesto popular em defesa das reivindicações mais sentidas das
massas da cidade e do campo, preparar a greve geral pelos direitos
ameaçados, pela Revolução Agrária e contra o fascismo. Toda esta
podridão só pode ser varrida pela Revolução Democrática, com o
estabelecimento da Nova Democracia!
* É
importante deixar claro que o PT (um aglomerado de tendências
pequeno-burguesas, desde os pelegos treinados pelos institutos ianques
de “sindicalismo livre”, comunidades eclesiais de base da igreja
católica, ex-guerrilheiros arrependidos, intelectuais pequeno-burgueses
do CEBRAP e todas as possíveis seitas trotskistas, avalizados pelo
revisionismo cubano) proclamava o discurso radicaloide, em teoria e
prática, expresso na simplificação da realidade de “a classe
trabalhadora contra a patronal”.
miércoles, 20 de abril de 2016
A doença senil do oportunismo (A Nova Democracia)
Nota do blog:
Publicamos em seguida o artigo do prof. Fausto Arruda respondendo às
reações contrárias aos textos e opiniões expressas pelo jornal; reações
estas tão comuns e frequentes a cada dois anos, vinda dos revisionistas e
oportunistas eleitoreiros da “esquerda” ligada e integrada até a medula
ao genocida e velho Estado de grandes burgueses e latifundiários
serviçal do imperialismo, principalmente ianque.
Originalmente publicado em Jornal A Nova Democracia (AND), nº 129 (2ª quinzena de Abril de 2014).
A doença senil do oportunismo
Fausto Arruda
A reação do oportunismo aos artigos que temos publicado nesta e em outras páginas de AND,
denunciando a farsa eleitoral no Brasil e conclamando ao boicote da
mesma, é como se fosse o samba de uma nota só. Escudando-se na
importante obra de Lenin, Esquerdismo, a doença infantil do comunismo, os
oportunistas se aferram à defesa deste lixo que é o sistema eleitoral
brasileiro porque há quase cem anos Lenin, examinando a situação
concreta da Europa, após a grande vitória do proletariado com a
Revolução Russa, defendeu a participação dos comunistas, em determinadas
circunstâncias, no parlamento reacionário.Fazendo uma retrospectiva da trajetória dos bolcheviques ele pontua o tempo todo que a luta principal dos comunistas era contra o oportunismo de direita e o revisionismo. Entretanto, fazendo a análise concreta da situação concreta no ocidente e da tática de uma parcela dos comunistas, principalmente alemães, holandeses e ingleses, apontava erros de caráter oportunista de “esquerda”, os quais qualificou de esquerdismo, acrescentando ser a mesma a doença infantil do comunismo.
OS LIMITES DO PARLAMENTO BURGUÊS
O século XIX foi a época da consolidação do poder político da burguesia através da república democrática, ao concluir um ciclo com as revoluções da Alemanha e da Itália. Foi o período do capitalismo caracterizado por Lenin de seu“desenvolvimento mais ou menos pacífico” no qual a burguesia instituiu o parlamento como a expressão de sua democracia, tendo no sufrágio universal o grande apanágio para ocultar o decisivo poder do dinheiro como sua essência.O proletariado e as massas em geral, embora alertados desde 1848 peloManifesto Comunista, escrito por Karl Marx e Friedrich Engels, sobre como conquistar o poder político, seguia em grande parte tendo a ilusão de que seu voto poderia um dia servir para mudar o quadro de opressão e exploração de classe até então vigente. Isto levou os partidos operários socialdemocratas (os mais avançados de então) a adotarem a luta parlamentar como uma de suas formas de luta.
A experiência desenvolvida pela II Internacional ao criar partidos socialistas, cujos chefes foram se amoldando gradativamente à velhacaria do parlamento burguês, mostrou de forma inequívoca os limites de tal participação. O ponto alto destes limites foi a traição generalizada de tais partidos nos episódios de votação dos créditos de guerra por ocasião da Primeira Grande Guerra Mundial (de 1914 a 1918), o que ocasionou a cisão da II Internacional diante da proposição de Lenin de que seus partidos, ao invés de apoiarem as burguesias de seus países na guerra, deveriam chamar à insurreição para derrotá-las em cada país, tomando o poder neles e, assim, conjurar o perigo da guerra.
Para os bolcheviques, educados por Lenin na compreensão da importância do trabalho aberto e secreto e das atividades legais e ilegais, a atuação no parlamento revestia-se de uma missão revolucionária, tanto assim que sua bancada no parlamento russo, por não votar os créditos de guerra e conclamar o proletariado, os camponeses e soldados a transformar a guerra imperialista em guerra civil revolucionária, foi presa e deportada para a Sibéria. A Revolução de 1917 foi, portanto, a demonstração cabal de que as formas conspirativas e a organização da violência revolucionária é que decidiram a vitória do proletariado.
O “PARLAMENTO” NAS SEMICOLÔNIAS
Consideramos semicolônias os países que, após o surgimento do imperialismo, como estágio mais avançado e apodrecido do capitalismo, constituem o polo secundário da contradição países dominantes versus países dominados. Ou seja, países que alcançaram a sua independência apenas formalmente, tendo em vista que seguem, como nos tempos de colônia, política, econômica e culturalmente dominados pelos países imperialistas. Assim sendo, diante de sua soberania alienada, sua constituição e a divisão de poderes, nela estabelecida, entre executivo, legislativo e judiciário, não passam de arremedo de seus congêneres nos países imperialistas.Neste contexto, o que se chama parlamento numa semicolônia como o Brasil, não passa de uma casa homologatória das decisões impostas pela metrópole e, ao mesmo tempo, um clube onde os oligarcas de vários matizes fazem seus conciliábulos para ratearem entre si as sobras da derrama da riqueza nacional.
O processo eleitoral no Brasil semicolonial, considerado historicamente desde a eleição a bico de pena da “República Velha”, até a famigerada urna eletrônica da atualidade, permanece uma farsa, cuja finalidade é reproduzir o conluio burguês-latifundiário serviçal do imperialismo no controle do Estado.
OS MERCADORES DE ILUSÃO
O domínio do parlamento, portanto, é monopólio das classes dominantes, as quais reproduzem a sua dominação com base no uso do dinheiro e das posições que ocupam no aparelho do Estado em seus vários níveis.Há, entretanto, uma camada da sociedade, composta principalmente por intelectuais da pequena burguesia, que implora a todo custo aos dominantes um lugarzinho no parlamento e nas demais instituições da semicolônia. Em troca oferecem seus préstimos para mercadejar as ilusões eleitorais junto às massas.
Este setor tem medo da revolução, pois vê em sua realização a possibilidade de perder seus cargos e salários, responsáveis pela existência de sua vidinha mais ou menos. Diz-se de “esquerda”. Para se diferenciar dos “stalinistas” acrescentam o termo “democrática” e omitem outro complemento necessário: “burguesa”. São socialistas utópicos dos mais variados matizes como igrejeiros, ongueiros, trotskistas e ex-guerrilheiros arrependidos. Afinal, a pequena burguesia é burguesia, só que pequena, porém candidata a grande. Por isso, na luta de classes ocupam uma posição centrista.
O REVISIONISMO COMO SERVIÇAL DAS CLASSES DOMINANTES
O termo revisionismo foi adotado no movimento operário para designar uma corrente que propugnava extrair do marxismo o seu caráter revolucionário, usando o marxismo para realizar o diagnóstico da sociedade capitalista, entretanto realizando um prognóstico reformista que levava sua prática para confluir com uma orientação burguesa para a luta parlamentar. Os revisionistas negam o Manifesto Comunista que, resumindo seus propósitos ao final, anuncia que os comunistas não se rebaixam a ocultar seus objetivos e proclamam abertamente a necessidade da derrubada violenta de toda a velha ordem.Depois dos fundadores Marx e Engels, Lenin, Stalin, Mao Tsetung e Abimael Guzmán, cada um em sua época, foram os grandes defensores do marxismo como a ciência e ideologia todo-poderosa do proletariado, como guia para a ação dos revolucionários na luta pela derrocada total do capitalismo como sistema responsável pela opressão e exploração de classe e dominação dos povos. Em sua mira estiveram exímios revisionistas como Bernstein, Kautski, Trotski, Bukarin, Togliatti, Tito, Kruschov, Liu Shao-chi, Teng Siao-ping, Enver Hohxa e outros de menor coturno.
As “críticas” que temos recebido através, principalmente, da internet, provêm de militantes ligados a organizações que se apresentam, pelo menos em suas siglas, como Partido “Comunista”. Seus argumentos para a defesa da farsa eleitoral em geral não se situam no campo comunista e sim no campo revisionista. Fechando os olhos para o novo, para a Revolução, insistem em dar sobrevida ao velho, ao carcomido sistema eleitoral brasileiro, participando e defendendo com unhas e dentes a farsa eleitoral. Mendigam um lugarzinho no clube das porcas oligarcas para chafurdarem junto com elas no lamaçal da corrupção e a serviço da subjugação nacional.
Ao insistirem no revisionismo, na doença senil do oportunismo de direita, estas organizações serão inevitavelmente varridas pelos protestos da juventude combatente, cujo brado vai se unindo com as massas camponesas que lutam incessantemente pela conquista da terra e pela revolução agrária. Será neste ambiente que, inapelavelmente, se erguerá o verdadeiro Partido Comunista que, por ser comunista de verdade, traz implícito o seu caráter revolucionário.
lunes, 18 de abril de 2016
Celebrando el 41 aniversario de la victoria revolucionaria en Kampuchea.
Este 17 de abril se cumplen 41 años que las unidades del ejercito revolucionario, bajo la dirección del PCK, liberaron los ultimos reductos en poder del ejercito del gobierno titere de Lon Nol en la ciudad de Phnom Penh, dando comienzo a una era revolucionaria conocida como Kampuchea Democrática.
ECUADOR: Declaración del Frente de Defensa de Luchas del Pueblo Ecuador sobre el terremoto del pasado domingo.
Desde Dazibao Rojo manifestamos nuestro pesar y solidaridad con el pueblo de Ecuador.
TERREMOTO EN EL ECUADOR GENERA VÍCTIMAS
EN EL SENO DEL PUEBLO
Un fuerte sismo de 7.8 grados afectó la costa ecuatoriana. Hasta el
momento el número de víctimas no ha sido cuantificado de manera objetiva
en la medida que se siguen removiendo escombros y con ellos la
posibilidad de encontrar más cadáveres. Las informaciones oficiales
hablan de aproximadamente 240 fallecidos y más de 1.600 heridos.
El Frente de Defensa de las Luchas del Pueblo-Ecuador, se solidariza con
las masas empobrecidas del país víctimas del siniestro telúrico.
El hecho de que las víctimas sean principalmente hijos del pueblo,
moradores de barrios populares, habitantes de viviendas frágiles, mal
construidas, etc., no representa una “suerte del azar”, sino que se
trata de una obvia respuesta a las difíciles y pauperizadas formas como
vive nuestro pueblo producto de la desatención gubernamental y desde
luego, a la precarización de las masas como reflejo de los antagonismos
sociales.
Rechazamos y combatimos a los politiqueros que hoy quieren traficar
electoralmente con la desgracia del pueblo emitiendo campañas y
discursos solidarios huecos e hipócritas.
Hoy miles de ecuatorianos que viven en barriadas populares han perdido a
muchísimos familiares, pero también sus viviendas pobres y sus pocos
bienes de uso cotidiano. Exigimos la respuesta del gobierno, no como una
dádiva o una limosna, sino como una obligación ante la deuda que tiene
con las mayorías del país.
El más profundo amor para nuestro pueblo, con él, nuestra solidaridad
militante. Fortaleza ante el dolor y mucha rebeldía en contra del viejo
estado y las clases dominantes que tienen responsabilidad directa en el
impacto que tienen las catástrofes naturales en la vida de las masas.
Frente de Defensa de Luchas del Pueblo Ecuador
domingo, 17 de abril de 2016
ECUADOR: Imagenes de acciones de propaganda realizadas por los camaradas del FDLP en apoyo a la guerra popular en India.
Abril
2016
¡VIVA
LA GUERRA POPULAR EN LA INDIA!
El
Frente de Defensa de las Luchas del Pueblo del Ecuador se solidariza con el
proletariado, campesinos pobres y demás masas explotadas de la India que organizados
por el Partido Comunista de la India (maoísta) despliegan una poderosa Guerra
Popular que brega por la destrucción del viejo Estado y la construcción de una nueva sociedad bajo
égida proletaria.
A
este firme y necesario propósito de los comunistas, el imperialismo yanqui
coludido con las clases más reaccionarias de ese país, ha desatado, desde
algunos años, la criminal campaña de exterminio conocida como operación “Cacería
Verde”, que además de desencadenar la más abyecta y sanguinaria violencia en
contra de las masas ha desatado –también- la permanente persecución de los
mejores hijos del pueblo a quienes después de detenerlos, torturarlos los han
encerrado en las cárceles en condiciones infrahumanas en condición de presos
políticos.
El
proletariado y pueblo del Ecuador se solidarizan con la Guerra Popular en la
India y condenamos la campaña de exterminio del pueblo, no obstante, reconocer,
que dichas campañas represivas del viejo estado son ya una muestra de debilidad
y desesperación por detener la gran tormenta obrero campesina que poco a poco
consolida la derrota del imperialismo, la gran burguesía, grandes
terratenientes y de su aliado estratégico: el revisionismo.
La
Guerra Popular en la India se ha ido constituyendo en el faro de la Revolución Proletaria
Mundial,en esa medida, los comunistas y pueblo del Ecuador hacemos de su lucha
nuestra lucha, de sus propósitos, nuestros propósitos, de todas formas somos
portadores de la más grande y todopoderosa ideología del proletariado
internacional: el marxismo-leninismo-maoísmo.
¡VIVA
LA GUERRA POPULAR EN LA INDIA!
¡LIBERTAD
A LOS PRESOS POLÍTICOS DE LA INDIA!
¡LIBERTAD
A LOS PRESOS POLÍTICOS DEL MUNDO!
¡VIVA
EL MARXISMO-LENINISMO-MAOÍSMO!
¡VIVA
LA GUERRA POPULAR EN LA INDIA, FILIPINAS, TURQUÍA Y EL PERÚ!