lunes, 28 de octubre de 2024

INDIA: 5rd Anniversary of Manjakandi Martyrdom Day

 


On October 28 2020, 4 Maoists were brutally murdered by Pinarayi Vijayan's government's thunderbolt commandos.
Long Live Comrade Manivasagam, Ajitha, Karthi and Aravindan!
Long Live Martyrs!
Long Live Marxism Leninism Maoism!


FRANCIA:Déclaration de Georges Abdallah – 26 octobre 2024


Manifestation à Lannemezan - Le 24 Octobre 2024

Cher.es camarades, Cher.es ami.es,

Des années, des très longues années, derrière les abominables murs et c’est toujours la même détermination et le même enthousiasme en écho à votre mobilisation solidaire…

Vous savoir rassemblé.es aujourd’hui, ici, face à ces barbelées et autres miradors, à quelques mètres de ma cellule me remplit de force et me réchauffe le cœur. Cependant quelle émotion, Camarades, Ami.es, de constater que pour la première fois depuis tant d’années, ce n’est pas notre infatigable Suzanne qui lit cette courte déclaration. Notre très chère Suzanne s’est éteinte, comme vous le savez, il y a quelques petites semaines. Certainement elle demeure en vie, à tout jamais dans nos cœurs et notre mémoire telle une flamme vivifiante, tout particulièrement dans de pareilles circonstances.

Cher.es camarades, Cher.es ami.es,

Votre mobilisation solidaire ne laisse personne ici indifférent, voyez-vous l’ambiance dans ces sinistres lieux, toute cette ambiance carcérale, change quand l’écho de la vie agissante vient percuter la platitude sans nom d’un quotidien carcéral mortifère… Ainsi des codétenus sociaux, découvrent comme par enchantement, ne serait-ce que pour un petit moment, la beauté et la puissance des rapports humains foncièrement désintéressés, la solidarité en dépit de tant d’années derrière les barreaux… survivants dans la misère culturelle et affective, sans réels rapports avec la société depuis de longues années pour certains, cet éveil d’enthousiasme et d’humanité ne passe pas inaperçu ; ça se lit dans les yeux et ça se voit dans ces commentaires spontanés souvent sincères mais hélas sans lendemain.

Camarades et ami.es, l’écho de vos slogans, de vos chants et de tout le reste, passe outre ces barbelés et autres miradors, il résonne dans nos têtes et nous transporte loin de ces sinistres lieux.

Cher.es camarades, Cher.es ami.es,

A l’aube de cette quarante-et-unième année de captivité, vous trouver ici, dans la diversité de votre engagement, apporte un cinglant démenti à tous ceux et celles qui misaient sur l’essoufflement de votre élan solidaire. Il met en évidence que le changement des rapports de force en faveur des protagonistes révolutionnaires incarcérés est toujours fonction de la mobilisation solidaire assumée sur le terrain de la lutte anticapitaliste/antiimpérialiste.

Ainsi peut-on dire sans la moindre hésitation que le soutien le plus significatif que l’on peut apporter à nos camarades embastillés s’inscrit d’emblée dans l’engagement réel dans la lutte en cours. Ce n’est qu’en assumant la solidarité sur ce terrain que le maintien de nos camarades en prison commence à peser plus lourd que les possibles menaces inhérentes à leur libération.

Camarades et ami.es, par ce temps de crise globale du capitalisme mondialisé et l’exacerbation de toutes ses contradictions, ce temps de guerre, de massacre à grande échelle, de répression, de fascisation, de propagande et de manipulation, de grandes luttes et de mobilisation et surtout de ce sursaut enthousiasmant de la jeunesse agissante sur fond d’une barbarie inhérente au capitalisme moribond…. pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, des millions de personnes assistent à un génocide en cours. Depuis plus de 380 jours, les génocidaires continuent à sévir à Gaza et en Cisjordanie et maintenant ils élargissent leur champ de guerre au Liban avec le soutien actif des principales puissances impérialistes de l’occident. Cependant grâce à la résistance héroïque des masses populaires palestiniennes et leurs avant-gardes combattantes, et surtout grâce aussi à la mobilisation solidaire massive un peu partout dans le monde, la Palestine résiste et réoccupe plus que jamais, sa place sur le devant de la scène internationale.

Ceci étant, Cher.es camarades, Cher.es ami.es, peut-être serait-il utile de rappeler que la solidarité internationale active s’avère une arme indispensable dans la lutte contre la colonisation de peuplement toujours en cours en Palestine et la guerre génocidaire qui lui est intimement inhérente. C’est toujours en fonction de cette solidarité active que l’on peut participer aux changements de rapports de force ici, dans le ventre de la bête impérialiste et ailleurs dans le processus de construction du « Bloc historique », cadre global et sujet potentiel du mouvement de libération nationale palestinien.

Cher.es camarades, Cher.es ami.es,

Certes, il est urgent de tout mettre en œuvre pour contrer et arrêter la barbarie sioniste en cours à Gaza, en Cisjordanie et au Liban. Il n’en demeure pas moins qu’en dépit de cette agression génocidaire de grande envergure contre Gaza ces jours-ci, où aux dizaines et dizaines de milliers de martyrs et de blessés, s’ajoute la terrible destruction généralisée de tout l’espace habitable de Gaza, la résistance reste inébranlable, protégée et adoubée par les masses populaires palestiniennes.

Gaza ne portera jamais le drapeau blanc de la capitulation. Ni les sionistes, ni aucune autre criminelle force ne réussiront jamais à briser la volonté de la résistance à Gaza.

Honte à tous ceux et celles qui, face à la barberie sioniste génocidaire, appellent à regarder ailleurs !

Que milles initiatives fleurissent en faveur de la Palestine et sa glorieuse résistance !

Le capitalisme n’est plus que barbarie, honneur à tous ceux et celles qui s’y opposent dans la diversité de leurs expressions !

Ensemble et ce n’est qu’en ensemble que nous vaincrons !

La Palestine vivra et la Palestine certainement vaincra !

A vous tous et toutes camarades et ami.es mes chaleureuses salutations révolutionnaires.

Votre camarade Georges Abdallah

Samedi 26 octobre 2024

SONY DSC

miércoles, 23 de octubre de 2024

BANGLADESH: Seminar Palestine/India

 Press Release

Date : 11 October, 2024


Seminar held in protest of the one year of Israeli genocide and aggression on Palestine and the ongoing "Operation Kagaar" aimed at destroying the Maoist's in India. 

The New Democratic People's Forum (NDPF) held a seminar at the Bangladesh Shishu Kallyan Parishad auditorium to protest the year-long genocide in Palestine by Israel with the direct support of US imperialism and the ongoing "Operation Kagaar" by the Hindutva-Fascist Narendra Modi's government aimed at destroying the Maoist People's War in India. Under the chairmanship of the organisation's President Zafar Hossain and the conduction of the organisation's Vice-President Biplab Bhattacharjee, the seminar was addressed by the former Professor of the Economics department of Jahangirnagar University Anu Muhammad, President of the Shahid Biplobi O Deshpremik Smriti Songshod Hasan Fakhri, General Secretary of the Maulana Abdul Hamid Khan Bhashani Parishad Dr. Harun-ur-Rashid, General Secretary of the Jatiyo Mukti Council Dr. Faiezul Hakim, energy expert B. D. Rahmatullah, Joint General Secretary of the National Democratic Front Prakash Dutta, President of the Jatiyo Gonotantrik Front Masud Khan, Acting President of the Revolutionary Student-Youth Movement Tawfika Priya, among others. 



The speakers stated that the Israeli occupation has been committing brutal genocide in Palestine for 70 years. This time, under the pretext of the operation of eliminating Hamas, and in reality, they are seizing land, killing Palestinian women, children and the elderly. Countless people have been displaced. Millions left in unbearable suffering of food insecurity and livelihood. The speakers also stated that, none of this could've happened without direct support of the US imperialism. They called for an immediate end of this brutal genocide. They urged the Palestinian people to build a movement for an united, independent and a secular Palestine, free from all imperialists. The speakers also condemned Israel's barbaric attacks on Lebanon. Furthermore, they also protested and condemned the Indian states' eradication campaign of the pro-people forces, the Maoists. The speakers condemned the Hindutva-Fascist Modi government for its state oppression against India's indigenous people without regard for bourgeois law and called for an immediate cancellation of the "Operation Kagaar."


Biplab Bhattacharjee
Vice-President
New Democratic People's Forum

FILIPINAS: El NPA sigue ganando fuerza mediante ofensivas tácticas

 

Ana Rosario, 7 de octubre de 2024

Contrariamente al regodeo de los oficiales militares y funcionarios del gobierno reaccionario de que las fuerzas revolucionarias armadas del pueblo filipino están gravemente debilitadas, los combatientes rojos del Nuevo Ejército del Pueblo (NPA) siguen ganando fuerza mediante ofensivas tácticas y asestando duros golpes a las tropas fascistas de las Fuerzas Armadas de Filipinas (AFP).

En los últimos tres meses, los guerrilleros populares han lanzado exitosas operaciones militares contra las fuerzas enemigas en distintas provincias del país, desde ataques ofensivos hasta francotiradores, pasando por el acoso y la aplicación de castigos justos contra criminales incorregibles y espías.

Frustrar ataques enemigos

El 15 de septiembre en Sitio Calanay, Barangay Banco, Palanas en Masbate, los combatientes rojos del NPA-Masbate (Comando José Rapsing) frustraron un ataque del 2º Batallón de Infantería de las AFP, y luego lanzaron una contraofensiva que mató a 10 tropas enemigas. Los guerrilleros populares utilizaron un explosivo detonado por el mando contra las tropas enemigas y luego maniobraron para ponerse a salvo, contrariamente a las mentiras difundidas por el 2º BI de que el NPA sufrió muchas bajas.

Según Ka Luz del Mar, portavoz del NPA-Masbate, el enemigo recuperó rápidamente los cuerpos de sus soldados caídos para ocultar sus bajas, pero muchos fueron testigos de la recuperación de los muertos de las AFP. Debido a su humillación por la derrota ante los combatientes rojos y al fracaso a la hora de obtener información de las masas, el ejército filipino y la PNP enviaron 200 soldados y personal a los barangays de Banco, San Carlos y Bigaa en la ciudad de Palanas.

Antes de la ofensiva del NPA de septiembre, una unidad del NPA-Masbate (Comando José Rapsing) emboscó a soldados de las AFP en incursiones consecutivas en dos campamentos militares distintos de la ciudad de Milagros, Masbate. La acción armada es una condena de la supuesta misión humanitaria en curso Pacific Partnership 2024-2 (PP24-2) de tropas estadounidenses y filipinas en Legazpi City, Albay, en la región de Bicol, del 1 al 14 de agosto. La PP24-2 estadounidense se utiliza como tapadera de operaciones bélicas contrarrevolucionarias bajo la apariencia de ejercicios de respuesta a catástrofes, como adiestramiento en el uso de tecnología de sistemas de información geográfica, operaciones de emergencia y preparación para la búsqueda y el rescate en montaña y ciudad.

Los guerrilleros populares atacaron el campamento de la 93ª Compañía de Reconocimiento de la División (DRC) en Sitio San José, Barangay Hamorawon y el campamento de la 2ª IB en Barangay San Antonio el pasado 10 de agosto a las 9 p.m. El ejército popular dijo que la 2ª IB y la 93ª DRC forman parte de las fuerzas armadas que sirven como guardias de las tropas estadounidenses en Filipinas.

Las tropas enemigas eran conocidas por cometer atrocidades contra los masbateños. El 2º IB está implicado en múltiples crímenes contra el pueblo de Masbate, especialmente contra los campesinos, amenazando sus vidas, saqueando sus casas, robando la comida, las aves de corral y el ganado de los campesinos. Los miembros de la 2ª Compañía Alfa del IB sirven como personal y matones del gobernador de Masbate, Antonio T. Kho, y como protectores de las tierras que ha arrebatado a las masas.

Pero el NPA y las masas siguen sin tener miedo. De hecho, las masas de la zona celebraron la derrota de los soldados reaccionarios y gritaron «¡Marise!». (¡Recogisteis lo que sembrasteis!).

Ka Luz recordó a las unidades del NPA-Masbate que esta «batalla defensiva es un desafío para que el NPA-Masbate siga perseverando en el lanzamiento de ofensivas tácticas para castigar a las AFP-PNP-CAFGU por sus crímenes».

El NPA-Masbate también lanzó operaciones de hostigamiento contra las tropas enemigas. El pasado 26 de agosto a las 11 de la noche, la unidad del NPA disparó contra soldados del 2º IB mientras descansaban en su recinto en Placer, Masbate. Los soldados huyeron cuando los combatientes populares abrieron fuego y utilizaron explosivos detonados por orden contra la unidad de la 2ª Compañía Alfa del IB en la zona. Los combatientes populares aún no han confirmado el número de bajas del ejército reaccionario. No hubo bajas en el lado del ejército popular, ya que pudieron maniobrar con seguridad fuera de la zona.

Entre los crímenes cometidos por el 2º BI está el asesinato de los jóvenes hermanos Ronel y Robert Monsanto el 8 de julio en Barangay Aguho, ciudad de Esperanza.

Los combatientes rojos también lanzan operaciones de hostigamiento contra el enemigo porque tales acciones militares causan una grave desmoralización entre las filas de las tropas fascistas.

Más operaciones contra el enemigo

  • Los combatientes rojos del NPA-Sorsogon (Comando Celso Minguez) lanzaron una emboscada contra las fuerzas de la 22ª unidad IB con base en Juban, Sorsogon en la región de Bicol el pasado 6 de septiembre en Barangay Calpi, Bulan, Sorsogon matando al cabo Rodel Felismino e hiriendo al soldado Jamil Forte.

El camarada Samuel Guerrero, portavoz del NPA-Sorsogon, dijo que la acción era una respuesta del NPA-Sorsogon al clamor de justicia de la población de las zonas acosadas y reprimidas por los soldados durante las operaciones militares en los diferentes barrios de la zona de Magallanes, Bulan, Irosin y Juban desde marzo.  El NPA-Sorsogon expresó su determinación de atender los agravios del pueblo y defenderlo contra las fuerzas fascistas del Estado.

  • Al menos seis soldados de las AFP murieron y 12 resultaron heridos en los contraataques y la defensa activa de unidades del NPA-Norte de Mindanao Central en marzo y julio, según informes de Ang Kalihukan (El Movimiento), el periódico revolucionario de masas de la región.
  • El Nuevo Ejército del Pueblo (NPA)-Samar Occidental (Mando Arnulfo Ortiz) disparó contra soldados del 87º IB acampados en Sitio San Pedro, Barangay Poblacion 3, San José de Buan, Samar Occidental, el 9 de junio, matando al cabo Marvin Calvintos e hiriendo a varios soldados. El 23 de junio, una unidad del mismo comando del NPA llevó a cabo una operación de francotiradores contra las tropas fascistas del 97º IB en Jiabong, Samar Occidental. Durante la operación murió el sargento Leo D. Jabinar.
  • Tres soldados de la Brigada 203e estacionada en Mindoro Oriental murieron cuando combatientes rojos del Comando Lucio de Guzmán del NPA-Mindoro frustraron un ataque de dicha Brigada el pasado 11 de julio en Barangay Panaytayan, Mansalay, Mindoro Oriental.

Cada ofensiva táctica lanzada por el NPA se planifica y lleva a cabo cuidadosamente. El NPA se asegura de que ningún civil resulte herido en ninguna operación, en cumplimiento del derecho humanitario internacional. Las masas confían en el NPA. Saben que los combatientes rojos tienen sus intereses en primer lugar, y por eso apoyan al ejército popular.

Por otra parte, las fuerzas enemigas han estado lanzando ataques contra las poblaciones civiles en diferentes partes del país matando a civiles y la destrucción de sus hogares y medios de vida.

Las fuerzas del Nuevo Ejército del Pueblo tienen el deber jurado de defender a las masas y construir juntas una auténtica Filipinas democrática e independiente. En línea con la estrategia y las tácticas de la revolución democrática nacional, la guerra popular librada por el NPA bajo el liderazgo absoluto del CPP es el único camino hacia la liberación nacional y social.

INDIA: Meeting by the Committee for the Release of Political Prisoners- WB

https://redherald.org/2024/10/23/india-meeting-by-the-committee-for-the-release-of-political-prisoners-wb/

We hereby share a call published by the CRPP-WB.

The Republic has once again murdered its own child in cold blood. Rise up and condemn the state’s institutional execution of the people’s intellectual, GN Saibaba. Join the fight—attend the meeting and make your voice heard!

lunes, 21 de octubre de 2024

INDIA:Ceremonia fúnebre por el inmortalizado maoísta Saibaba - Yeni Democracy - Info

Nota DPCP:

El viejo y putrefacto estado indio no pudo finalmente con el camarada G.N Saibaba, quién pasa a la inmortalidad, pasa con una sonrisa a ser parte de la historia, historia de los que finalmente vencerán, porque quién vive como Saibaba es porque sabe justamente, que los comunistas estamos condenados a triunfar.

Ceremonia fúnebre por el inmortalizado maoísta Saibaba

El profesor Manoranjan Mohanty habló en el programa conmemorativo: "Nos esforzamos mucho por salvarlo. Sin embargo, no tuvo éxito. El gobierno lo mató. Esta no es una muerte ordinaria. Es hora de abolir la UAPA (Ley de Prevención de Actividades Ilegales). La vida de muchas personas se arruina debido a esto". Mohanty dijo que Saibaba tiene una tradición combativa y que eso debe llevarse más allá. "LA SONRISA DE SAI ME INSPIRÓ A LUCHAR" Hemant Mishra, quien estaba en la cárcel con Saibaba, también asistió al programa conmemorativo. Recordando su historia de 10 años de lucha, dijo: "La sonrisa de Sai nos inspiró a todos a luchar. Fue torturado tanto en la cárcel que no sobrevivió mucho tiempo después de ser liberado de la prisión". Recordando sus días en prisión, Hemant dijo que tuvieron que hacer una huelga de hambre en la cárcel por nuestras demandas. "También tuvimos que hacer una huelga de hambre en la cárcel por nuestras demandas. La situación era tan mala que Saibaba ni siquiera se bañó en una bañera, a pesar de que estaba discapacitado. Es por eso que no pudo ir al baño durante dos días. Hicimos una huelga de hambre en la cárcel, después de la cual le dieron una silla de ruedas para bañarse. Mientras estaba en prisión, su cuerpo había dejado de funcionar al 90 por ciento. Tenía una piedra en el estómago. Sus riñones también resultaron dañados y finalmente sufrió un ataque al corazón después de la cirugía. Fue asesinado por el gobierno. Pero vamos a llevar su lucha adelante".
Saibaba için anma programı.

El programa de conmemoración comenzó con las consignas "Libertad para los presos políticos" y "Viva la Revolución". Los estudiantes también colgaron fotos de Saibaba en el área donde se llevará a cabo el programa conmemorativo. En el programa de conmemoración se explicaron las severas torturas que sufrió Saibaba durante su cautiverio. Se describió la lucha de Saibaba y su trabajo en favor de las tribus dalit. Se dijo que las ideas de Saibaba se mantendrán vivas.

Saibaba için anma programı.


“SAİ’NİN GÜLÜMESEMESİ MÜCADELE ETME KONUSUNDA İLHAM VERİYORDU”

Saibaba ile birlikte hapiste bulunan Hemant Mishra da anma programına katıldı. 10 yıllık mücadele geçmişini hatırlatarak, “Sai’nin gülümsemesi hepimize mücadele etme konusunda ilham veriyordu. Hapishanede o kadar işkence gördü ki, hapisten çıktıktan sonra uzun süre hayatta kalamadı.” dedi. Hapishane günlerini hatırlatan Hemant, taleplerimiz için hapishanede açlık grevine gitmek zorunda kaldıklarını söyledi. Hemant, “Taleplerimiz için hapishanede de açlık grevi yapmak zorunda kalmıştık. Durum o kadar kötüydü ki Saibaba’nın banyo yapabilecek bir düzeni bile yoktu, oysa kendisi engelliydi. Bu yüzden iki gün boyunca banyoya gidemedi. Hapishanede açlık grevi yaptık, bunun ardından ona banyo için tekerlekli sandalye verildi. Hapishanedeyken vücudu yüzde 90 oranında çalışmayı bırakmıştı. Midesinde taş vardı. Böbrekleri de hasar gördü ve sonunda ameliyattan sonra kalp krizi geçirdi. Hükümet tarafından öldürüldü. Ama onun mücadelesini ileriye taşıyacağız.”

“SAİBABA LAL SALAM”

Defensores de los derechos humanos, familiares de Saibaba y líderes políticos se reunieron para apoyar al Prof. G.N. Saibaba el lunes 14 de octubre por la mañana, cuando fue llevado al Monumento a los Mártires en Gun Park, cerca de la Asamblea de Telangana.

Saibaba’nın aile üyeleri, insan hakları savunucuları ve siyasi partiler liderleri, Saibaba’nın mezarını bir süre anıtta tutmak istedi. Polis, izin vermeyerek engel olmaya çalıştı. Saibaba’nın naaşı taşıyan ambulansın anıt etrafında 15 dakika durmasına dahi izin verilmedi. Anma için bir araya gelen kitle polise tepki gösterdi. Tepki gösteren kitle, “Çok Yaşa Saibaba”, “Lal Salam (Kızıl Selam-çn)”, “Yaşasın Devrim” sloganlarını haykırdı.

 

Más tarde, el cuerpo de Saibaba fue trasladado a su casa, donde se celebró un servicio conmemorativo. Los miembros de la familia de Saibaba decidieron donar el cuerpo de Saibaba al Colegio Médico Gandhi.

BRASIL: CEBRASPO – Long live the fighter for the rights of the people Prof. GN Saibaba

 


We hereby share the letter made by Centro Brasileiro de Solidariedade aos Povos – CEBRASPO (Brazilian Center for Solidarity with the Peoples) and sent to the comrades and relatives of G.N. Saibaba.

Dear comrades,

We express our sincere condolences on the death of the great Indian democrat, Professor GN Saibaba. We are aware that his unjust imprisonment on false charges by the Indian state amounted to a slow and gradual murder caused by the conditions of incarceration and the lack of health care for a person who had 90% of his movements paralyzed.

Our contact with the professor in Brazil left us with a deep impression of his understanding of the Indian and international reality, his involvement in the defense of a people’s democracy and in overcoming the historical injustices that impede and attack the rights of peoples.

And also about his extraordinary human service in overcoming the difficulties imposed on him by his illness, which was the result of crimes against the health of the people because it resulted from conditions preventable by medical science.

Greetings to his family and comrades.

Long live the fighter for the rights of the people Prof. GN Saibaba. 

Centro Brasileiro de Solidariedade aos Povos (Brazilian Center for Solidarity with the Peoples)

jueves, 17 de octubre de 2024

GALIZA:Desde Galiza Vermelha for Saibaba

 Queremos denunciar a culminaçom do assassinato do camarada GN Saibaba a mãos do estado genocida indio do fascista Modi. Honra e glória ao camarada GN Saibaba mártir da Revolução Proletária Mundial!

miércoles, 16 de octubre de 2024

COLOMBIA: Con motivo del fallecimiento del camarada Saibaba

Con motivo del fallecimiento del camarada Saibaba 1

Si, el camarada Saibaba no muere a pesar de que haya fallecido el pasado 12 de octubre. Y vive obstinadamente en el sonido creciente de las masas revolucionarias que indómitas persisten en construir un mundo nuevo con sus propias manos en el fragor de la Guerra Popular en la India; sigue viviendo en sus camaradas del Frente Democrático Revolucionario y del Partido Comunista de la India que dirigen este esfuerzo gigantesco por derribar las montañas de la explotación y la opresión; sigue viviendo en los combatientes del Ejército Guerrillero Popular, entre los obreros, los campesinos, los pueblos indígenas, los estudiantes e intelectuales revolucionarios porque se convirtió en su vocero y en combatiente de primera fila contra la tiranía fascista india.

Su figura inconfundible en silla de ruedas dio la vuelta al mundo y despertó la simpatía y el apoyo de los comunistas, los revolucionarios y personalidades progresistas de todos los países, quienes denunciaron su detención y condena movilizándose y realizando varias campañas por su liberación y la de sus cinco camaradas de juicio, condenados por oponerse a la guerra contra el pueblo orquestada por las clases dominantes y el imperialismo yanqui, y ejecutada con sevicia por el genocida Narendra Modi.

profesor Saibaba-India

Los comunistas en Colombia recibimos con profundo pesar la noticia de su fallecimiento porque nuestro hermano pueblo de la India ha perdido a una de sus más queridas y filosas espadas. Enviamos nuestro mensaje de solidaridad a sus familiares, amigos y camaradas, a quienes invitamos a transformar el dolor en fuerza porque sabemos cuánto pesa la pérdida de un dirigente. Reiteramos nuestro compromiso internacionalista y revolucionario persistiendo en el apoyo a la Guerra Popular en la India, en los esfuerzos por estrechar los lazos fraternales entre los pueblos y aprender de su valiosa experiencia de lucha.

Unión Obrera Comunista (mlm)

BRASIL: GN Saibaba presente na luta! (LIGA OPERARIA)


“Meu Amor,

vida da minha vida,

esses dias eu penso em morte,

quero dizer sobre a vida,

porque

eu tenho um pacto de amor com a beleza,

eu tenho um pacto de sangue com meu povo.”

G. N. Saibaba em carta a sua esposa em 2018.

É com grande pesar que a Liga Operária expressa seu sentimento e solidariedade internacionalista ao falecimento de G. N. Saibaba ocorrido neste último sábado (12/10). Para nós o professor G.N. Saibaba foi e seguirá sendo um intransigente militante em defesa dos direitos do povo na Índia e da causa de libertação de todos os povos oprimidos do mundo. Sua atuação na defesa de seus ideais enquanto professor da Universidade de Delhi e enquanto presidente da Frente Democrática Revolucionária (FDR) despertou a fúria dos reacionários indianos que o perseguiram e o aprisionaram.

Panfleto da Liga Operária na campanha pelar libertação do professor Saibaba.

Saibaba foi sequestrado por agentes da policia em 2014 sem direito a julgamento sob a pretensa “lei de prevenção de atividades ilegais” e desde então foi preso e solto diversas vezes, sendo que a última prisão durou de 2017 a 2022. Esta lei, muito parecida com a lei anti-terrorismo aprovada por Dilma(PT) no Brasil, permite prender preventivamente qualquer pessoa do povo sem que hajam provas nem julgamento, foi o que houve com Saibaba.

Condenado a prisão perpetua injustamente em 2017. Sua morte foi na realidade um assassinato a longo prazo, resultado direto de complicações em seu quadro de saúde causadas pelas condições do encarceramento nas masmorras do velho estado indiano.

Como todos sabem, o professor tinha 90% do corpo paralisado devido a poliomielite que sofreu na infância. Na conferência de imprensa que deu logo após a prisão, enfrentando as fortes dores para conseguir falar com a imprensa e o povo, denunciou que “Fiquei preso em uma prisão que tem capacidade para 1.500 presos, mas 3.000 pessoas estavam alojadas lá em condições precárias. Não havia sequer uma única rampa na prisão para pessoas como eu”.

“Em vez de ir para o hospital, optei por falar hoje com a imprensa porque vocês me apoiaram. Minha família enfrentou estigma e fui chamado de terrorista… Estou sentado na frente de vocês hoje para conversar com todos vocês com muitas dores no corpo. Não consigo falar direito nem estou em posição de sentar aqui”, completou ele.

Na ocasião de sua soltura em 2022 por falta de provas ativistas indianos denunciaram que a decisão tardia do Supremo Tribunal de Bombain, que deu a liberdade a Saibaba, impediria a recuperação total do professor – o que corrobora a denúncia de assassinato a longo prazo.

Mesmo nas difíceis condições impostas pela perseguição, Saibaba nunca deixou de defender o povo indiano, um motivo que o moveu durante grande parte da vida.

Presidente da FDR por anos, Saibaba defendeu os povos tribais da Índia, ameaçados e perseguidos pelo Estado indiano e grandes mineradoras latifundiárias e imperialistas, desde a década de 1990.

Saibaba também denunciou de forma irrefreável as ações das forças da repressão contra o povo e as políticas antipovo e de castas na Índia.

Por três anos, entre 2009 e 2012, prestou um papel fundamental na reunião de democratas no Fórum Contra a Guerra ao Povo. Nele, Saibaba denunciou a Operação Caçada Verde, que, sob o pretexto de perseguir a Revolução Indiana dirigida pelo Partido Comunista da Índia (Maoista), cometeu inúmeros crimes contra os revolucionários e massas da Índia.

Nesse período, Saibaba participou de vários eventos internacionais para condenar a guerra contra o povo e defender a Revolução Indiana.

Foi justamente por conta dessas atividades, que feriram os interesses sanguessugas das castas dominantes e dos imperialistas na Índia, que a perseguição contra Saibaba endureceu. Em 2012, o professor foi ameaçado de despejo da universidade em que trabalhava. A tentativa foi impedida por uma grande campanha internacional de personalidades democráticas e, inclusive, do meio acadêmico.

Em setembro de 2013, porém, o Estado indiano, a serviço das classes dominantes, invadiu a casa de Saibaba, o arrancou de suas cadeiras de rodas e o prendeu. A acusação foi de que o professor (que já sofria um quadro de paralisia), havia cometido um roubo em Maharashtra. Ele acabou solto.

Foi o início da longa trajetória de novas prisões contra o professor. Reproduzimos abaixo a trajetória da luta de Saibaba por liberdade publicada pelo jornal A Nova Democracia.

“Em 2014, o Dr. Saibaba foi sequestrado clandestinamente de dentro da Universidade de Delhi e, na sequência, preso arbitrariamente sob a fascista “Lei de Prevenção de Atividades Ilegais”, após tomar parte nas campanhas de defesa dos direitos do povo, já sendo acusado de ligação com os maoístas. Ele era também ativo na luta pela libertação dos presos políticos indianos e na defesa da luta camponesa contra a instalação de multinacionais na Índia Central e Oriental. Professores e ativistas da Universidade de Delhi denunciaram no mesmo dia do sequestro a perseguição contra Saibaba. Ramdev, irmão do Dr. Saibaba, denunciou o isolamento que lhe fora imposto, afirmando ainda que os carcereiros não lhe entregavam os medicamentos utilizados desde que sofrera uma parada cardíaca, claro ato de tortura.”

“Em 3 de julho de 2015, a Alta Corte de Bombaim concedeu à Saibaba três meses de liberdade mediante pagamento de fiança após seguidas denúncias da deterioração da sua saúde na prisão. Em entrevista concedida na ocasião, ele questionou: “Por que o governo tem medo de mim? Eu sou 90% paralisado? Este Estado acha que uma pessoa que tem a coragem de se aproximar, ver e descrever a realidade é uma ameaça”. O professor também seguiu em sua defesa da legitimidade da luta revolucionária e condenando o velho Estado indiano pela violência desatada contra o povo, bem como denunciou as próprias condições de sua prisão e as violências sofridas em seu tempo no cárcere.”

“Em dezembro do mesmo ano, a Suprema Corte de Bombaim cancelou a fiança do professor, prendendo-o no natal. Sob renovadas tentativas de assassinato silencioso, Saibaba denunciou, em 2016, em carta ao ao principal juiz do distrito de Gadchiroli que não estava recebendo tratamento para o grave ferimento em seu ombro esquerdo adquirido na prisão e que isto agravava o perigo de perder o movimento de sua mão esquerda. Na época, pediu ao juiz para que fosse encaminhado imediatamente para o tratamento e requisitou instalações mínimas e ajudantes para tarefas diárias como banho, uso do sanitário, deslocamento, alimentação entre outras adaptações adequadas a sua condição.”

“Em 4 de abril de 2016, Saibaba foi libertado sob fiança novamente, sendo, porém, condenado à prisão perpétua em março de 2017. Em carta escrita da prisão à sua esposa, Saibaba afirmava:”

“‘Eu não tenho um cobertor. Eu não tenho um suéter ou jaqueta. À medida que a temperatura diminui, as dores excruciantes e contínuas nas pernas e na mão esquerda aumentam. É impossível para mim sobreviver aqui durante o inverno que começa a partir de novembro. Eu moro aqui como um animal nos últimos suspiros’.”

“Em 17 de dezembro de 2018, como forma de continuar o seu plano de assassinato silencioso, o velho Estado indiano acusou também os médicos de Saibaba (o geriatra Dr. Haji Bhatti, o neurologista Dr. Prasad e o cardiologista Dr. Gopinath) de serem “simpatizantes do maoísmo” por atestarem o grave estado de saúde em que se encontrava o professor. No dia 21 de outubro de 2020, Saibaba iniciou uma greve de fome para protestar contra sua prisão e as condições em que era mantido.”

“Foi em 2022 que uma primeira absolvição foi concedida à Saibaba, pelo Tribunal Superior de Mumbai. O Supremo Tribunal Indiano decidiu, porém, de última hora, suspender a decisão, que havia se dado após um mês de campanhas internacionais em defesa da liberdade, da vida e da saúde do professor.  A Agência Nacional de Investigação (ANI) da Índia denunciou ao Supremo Tribunal que a acusação contra o prisioneiro era “muito grave” e que as irregularidades processuais (como a forja de “provas” pelas autoridades) não eram suficientes para “justificar a absolvição”. O protesto de seus estudantes na Universidade de Delhi contra a decisão reacionária foi duramente reprimido.”

Foi durante esse longo período que Saibaba escreveu um conjunto de poemas sobre seu tempo no cárcere e a luta das massas. Defendeu, em um deles, como um recado para a própria mãe, que “a liberdade que perdi / é a liberdade que multidões ganharam / porque todo aquele que toma parte por mim / toma para si a causa dos desgraçados da terra / onde minha liberdade hoje repousa”.

Mortalidade é verdade, como Saibaba escreveu, “mesmo a terra morre” mas como ele desejava “devem haver muitas terras”. Portanto a morte atingiu Saibaba mas seu pacto de sangue com seu povo ainda vive. A revolução na Índia segue em curso e seu povo combate em sua justa guerra por libertação.

Gokarakonda Naga Saibaba presente na luta!