viernes, 30 de noviembre de 2018

FRANCIA: Pronunciamiento del PC maoïste de France sobre el movimiento Gillets Jaunes


Toujours avec les masses ! Sur le mouvement des Gilets Jaunes


Toujours avec les masses !
Contre les conceptions erronés concernant la lutte de masses

Sur internet tournait depuis quelques semaines un appel visant à “bloquer les routes” pour protester contre la hausse du prix du carburant. Cet appel a trouvé un écho important, des centaines de milliers de personnes s’y intéressant avant le 17 Novembre.
Au premier samedi de la mobilisation, des centaines de milliers de personnes se sont retrouvées sur les routes, parking et zones commerciales, dans le but de bloquer, avec un mot d’ordre général “contre la taxe”. Rapidement, les mots d’ordres, sous les yeux de nos camarades, sont passés du refus de la hausse de la taxe sur le diesel au refus de la hausse des prix, à la réclamation de meilleurs salaires et retraites, etc.
Au deuxième samedi, l’appel à monter à Paris n’a pas été très suivi et la division entre celles et ceux restés localement et celles et ceux montés sur Paris s’est ressentie, avec une baisse générale du nombre de blocages, malgré la continuation de nombre d’entre eux.
A la Réunion, le pouvoir a directement été confronté brutalement à la colère des masses qui payent encore plus cher qu’en métropole l’ensemble des denrées de première nécessité. La situation sociale de l’île, avec un fort taux de pauvreté et de chômage, a mis le feu au poudre. Depuis 15 jours, l’Etat applique un traitement militaire à cette révolte, en déplaçant ses forces de répression vers la Réunion. La situation est telle que la ministre des “outre-mer” a du s’y déplacer, le 28 Novembre, pour faire des promesses à des “représentants” triés sur le volet pendant que la foule la huait.
Là où il y a oppression, il y a résistance, c’est une loi universelle.
Pour nous communistes, la lutte contre la vie chère est un élément important dans la lutte de classe, un élément d’une grande importance politique, idéologique et organisationnelle. Pourtant, de nombreux militants sont gênes par cet appel et par l’écho qu’il peut avoir, par le fait que le mot d’ordre semble avoir été repris par un militant fasciste, et que les patrons routiers tentent de faire main basse sur cette mobilisation. Beaucoup décident que, puisque ce mouvement a un écho à droite, alors il ne faut pas participer. Il s’agit d’une méthode métaphysique, une manière d’analyser qui part de principes immuables, qui ne voit pas tous les aspects des choses. Il ne faut pas analyser de cette manière pour tirer une conclusion sur la tactique à adopter.
Deux semaines après la mobilisation, les choses ont changé. Pourtant, il était tout à fait prévisible que, vu la forme du mouvement et sa composante de classe, il allait tourner à la fronde anti-gouvernementale, avec des revendications prolétariennes sur les salaires et le coût de la vie !

Élément principal et élément secondaire

Dans chaque mouvement, il faut estimer quel est l’élément principal et l’élément secondaire. Mao Zedong résume la méthode d’analyse qu’utilisent les communistes dans De la contradiction.
La métaphysique, ou l’évolutionnisme vulgaire, considère toutes les choses dans le monde comme isolées, en état de repos ; elle les considère unilatéralement. Une telle conception du monde fait regarder toutes les choses, tous les phénomènes du monde, leurs formes et leurs catégories comme éternellement isolés les uns des autres, comme éternellement immuables. Si elle reconnaît les changements, c’est seulement comme augmentation ou diminution quantitatives, comme simple déplacement. 
Et les causes d’une telle augmentation, d’une telle diminution, d’un tel déplacement, elle ne les fait pas résider dans les choses ou les phénomènes eux-mêmes, mais en dehors d’eux, c’est-à-dire dans l’action de forces extérieures. 
Les métaphysiciens estiment que les différentes choses, les différents phénomènes dans le monde ainsi que leur caractère spécifique restent immuables dès le commencement de leur existence, et que leurs modifications ultérieures ne sont que des augmentations ou des diminutions quantitatives. Ils estiment qu’une chose ou un phénomène ne peut que se reproduire indéfiniment et ne peut pas se transformer en quelque chose d’autre, de différent.
Quel est l’élément principal dans le mouvement qui se déroule ? Dans la période actuelle où les salaires et aides sociales sont attaquées (soit directement, par les baisses de salaires, soit indirectement, via les baisses de cotisations sociales, soit encore indirectement, par la hausse générale des prix), le mot d’ordre “battons nous contre la vie chère” a un immense écho dans les masses qui voient augmenter les difficultés à boucler les fins de mois.
La hausse brutale du prix de l’essence, qui est un élément central du budget des ménages (un ménage rural peut dépenser plus dans sa ou ses voitures que dans l’alimentation ou le logement !) a fait l’effet d’une bombe. Ce sont des pertes mensuelles qui peuvent s’élever à 100€, 200€, ou plus pour un ménage. Pour les plus bas salaires, ce n’est pas respirable.
En somme, le mot d’ordre lancé sur internet de bloquer les routes et d’agir a été repris par une masse immense de personnes, avec pour date le 17 novembre. Voilà où est le principal : le coût de la vie augmente, les masses cherchent à s’organiser, et ça demande beaucoup de courage de s’organiser quand on a aucune expérience. Une grande masse peut faire sa première expérience politique dans la lutte contre la vie chère.
Il y a dans ce mouvement une multiplicité d’intérêts. Alors que l’intérêt de classe prolétarien à court terme est la baisse générale des prix (c’est-à-dire, indirectement, la hausse générale des salaires), une fraction de la bourgeoisie réactionnaire a intérêt à une baisse du prix de l’essence. Dans la concurrence inter-entreprise, les transporteurs cherchent à baisser les profits des monopoles de l’énergie pour mettre la plus-value dans leur poche. Ces patrons du transport sont souvent très proches du Front National ou des partis de droite. Voilà pourquoi de nombreux militants FN ont relayé cet appel.
En somme, la contradiction actuellement secondaire est celle entre la bourgeoisie qui se bat pour ses intérêts particuliers et d’autres fractions de la bourgeoisie. Elle cherche à emporter avec elle une grande partie des masses pour soutenir ses négociations, s’appuyant pour ça sur un intérêt soi-disant commun, la baisse d’un prix en particulier, celui de l’essence. Or, la baisse unique du prix de l’essence via la baisse des taxes ne profitera pas réellement aux masses. Tout ça, les ouvriers l’ont bien compris : beaucoup réclament que ce soient les “vrais pollueurs” qui soient attaqués, qu’on arrête de “donner d’un coté et de reprendre de l’autre”.
Cette contradiction s’est vue à plusieurs reprise dans les grandes luttes de masse de ces dernières années : Guyane, Martinique, Guadeloupe, ou encore Bretagne pour ce qui concerne la métropole.

La ligne de masse

En premier lieu, le marxisme diffère de toutes les formes primitives du socialisme en ce qu’il ne rattache pas le mouvement à quelque forme de combat unique et déterminée.
Il admet les méthodes de lutte les plus variées, et il ne les « invente » pas, il se borne à généraliser, organiser, rendre conscientes les formes de lutte des classes révolutionnaires, qui surgissent spontanément dans le cours morne du mouvement.
Absolument hostile à toutes les formules abstraites, à toutes les recettes de doctrinaires, le marxisme veut que l’on considère attentivement la lutte de masse qui se déroule et qui, au fur et à mesure du développement du mouvement, des progrès de la conscience des masses, de l’aggravation des crises économiques et politiques, fait naître sans cesse de nouveaux procédés, de plus en plus variés, de défense et d’attaque.
Lénine, La guerre des Partisans
Dans les masses existent en germe les idées justes, les formes justes de mobilisation. Ce sont les masses qui font l’histoire : seul ce qui parle aux masses, qui les aide à s’organiser est juste. Tout discours abstrait sur ce qui est “moralement” bon est à jeter à la poubelle.
Dans ce mouvement existe en germe de nombreuses choses bonnes : volonté de lutter pour la baisse des prix, volonté de s’organiser, volonté de ne plus se laisser faire etc.
Il existe aussi de nombreux éléments réactionnaires : centralisation du discours sur les taxes, sur l’essence, sur l’immigration… c’est une vision de classe, bourgeoise, qui s’infiltre dans les rangs du prolétariat, encore plus dans les zones rurales où l’emprise idéologique du Front National peut être importante. Le gouvernement tente également de se servir de l’extrême droite comme d’un épouvantail en faisant comme si ce mouvement dans sa globalité était piloté par Le Pen et “l’ultradroite”, ce qui ne peut avoir comme effet que de donner du crédit aux fascistes qui s’affichent comme “populaires” mais qui défendent en réalité les intérêts de la grande bourgeoisie impérialiste française.
Face à cela, nous devons renforcer les éléments positifs, puis écraser les éléments négatifs, “séparer le bon grain de l’ivraie” comme on dit.
Comment ? En synthétisant des mots d’ordre justes, en les mettant en pratique, en renforçant leur emprise organisationnelle. Ces mots d’ordres doivent être simples, efficaces, pour ne pas être perdus de vue par les militants.
Le premier est : “on a toujours raison de se révolter”. Oui, les masses ont raison de se révolter ! Oui, il y a des problèmes, mais l’aspect central est la volonté de lutter et de s’organiser, l’expérience politique concrète.
Le second est : “baisse générale du coût de la vie” (qui n’est rien d’autre que “hausse générale des salaires”). Il faut insister sur ce point, : ce sont avant tout les profits des capitalistes qu’il faut attaquer car ils sont la raison de notre exploitation, que c’est notre travail qui produit tout, toutes les richesses.
Le troisième est : il faut résister physiquement à la police, “combattre la répression”. La violence révolutionnaire est nécessaire pour toute transformation réelle et durable de la société. Nous nous plaçons du côté de celles et ceux des masses qui subissent la répression parce qu’elles et ils ont osé relever la tête et reprendre leurs affaires en main ; nous n’avons en revanche que faire de la vermine fasciste qui serpente dans le mouvement pour distiller son venin.
Secondairement, il faut renforcer certaines idées dans le mouvement : nous devons rappeler que la catastrophe écologique vient de la façon dont le système économique est organisé : sa loi fondamentale est “le plus de profit possible dans un temps minimum” au plus grand mépris de tout le reste. Nous luttons pour un monde où la loi fondamentale de l’économie sera “la satisfaction maximale des besoins matériels et culturels sans cesse croissants de toute la société “. Il faut aussi expliquer aux militants progressistes l’intérêt de classe des patrons, des bourgeois dans le mot d’ordre de baisse des taxes sur l’essence.

Une étincelle peut mettre le feu à toute la plaine !

Aujourd’hui il y a une grande colère dans la classe ouvrière et le prolétariat, contre les patrons, contre le gouvernement, contre l’Etat. Il peut y avoir des explosions brutales où les masses frapperont leurs ennemis, où il y aura de gros débordements.
Le rôle des communistes est de souffler sur le feu et de diriger les flammes dans la bonne direction, pas de tenter de l’éteindre. Nous devons être partout avec les masses quand il y a des revendications justes, quand les mots d’ordre prolétariens peuvent être mis en avant. Nous n’avons pas peur de lutter. Tout mouvement de lutte est traversé par les contradictions de la société. Il ne peut pas y avoir de mouvement “pur”, de mouvement parfait. Un mouvement pur, c’est un mouvement sans les masses, c’est un mouvement mort. Il existe des exemples d’agressions et de comportements dirigés par les fascistes visibles localement au sein du mouvement. Contrairement à la lutte principale que nous avons identifié comme étant la lutte contre la vie chère, ces exemples ne sont pas constitutifs du mouvement, pas explicatifs de la révolte des masses. Il est possible de lutter contre ces agissements localement, en coupant l’herbe sous le pied des fascistes et en éliminant les prétendus “porte-paroles” racistes, sexistes et parfois affiliés aux partis d’extrême-droite.
Voilà ce que disait à ce propos Lénine, qui résume les erreurs sur lesquelles nous avons mis le doigt, dans Une discussion sur le droit des nations à disposer d’elles mêmes :
Supposer qu’une révolution sociale est pensable sans une révolte des petites nationalités dans les colonies et en Europe, sans des explosions révolutionnaires de la petite bourgeoisie avec tous ses préjugés, sans le mouvement des masses prolétariennes et semi-prolétariennes inconscientes contre l’oppression de la noblesse, des églises, des monarchies et des nations étrangères – supposer cela serait ABJURER la révolution sociale. C’est s’imaginer qu’une armée prendra position en un lieu donné et dira “Nous sommes pour le socialisme”, et qu’une autre, en un autre lieu, dira “Nous sommes pour l’impérialisme”, et que ce sera alors la révolution sociale ! C’est seulement en procédant de ce point de vue pédantesque et ridicule qu’on pouvait qualifier injurieusement de “putsch” l’insurrection irlandaise. 
Quiconque attend une révolution sociale “pure” ne vivra jamais assez longtemps pour la voir. Il n’est qu’un révolutionnaire en paroles qui ne comprend rien à ce qu’est une véritable révolution. (…) 
La révolution socialiste en Europe ne peut être autre chose que l’explosion de la lutte de masse des opprimés et mécontents de toute espèce. Des éléments de la petite bourgeoisie et des ouvriers arriérés y participeront inévitablement – sans cette participation, la lutte de masse n’est pas possible, aucune révolution n’est possible – et, tout aussi inévitablement, ils apporteront au mouvement leurs préjugés, leurs fantaisies réactionnaires, leurs faiblesses et leurs erreurs. Mais, objectivement, ils s’attaqueront au capital, et l’avant-garde consciente de la révolution, le prolétariat avancé, qui exprimera cette vérité objective d’une lutte de masse disparate, discordante, bigarrée, à première vue sans unité, pourra l’unir et l’orienter, conquérir le pouvoir, s’emparer des banques, exproprier les trusts haïs de tous (bien que pour des raisons différentes !) et réaliser d’autres mesures dictatoriales dont l’ensemble aura pour résultat le renversement de la bourgeoisie et la victoire du socialisme, laquelle ne “s’épurera” pas d’emblée, tant s’en faut, des scories petites-bourgeoises.
Ce mouvement, comme tous les autres, est traversé par la lutte de classe. Chaque classe apporte ses propres mots d’ordre, ses propres volontés, ses propres militants. Les communistes doivent tout oser pour gagner la confiance des masses et renforcer le camp du prolétariat et des masses populaires. Dans cette lutte, notre Parti engage ses forces aux côtés des masses en lutte et s’efforce de démasquer les ennemis du peuple qui tentent de s’y infiltrer.

INDIA: CPI (Maoist) appoints military strategist Basavraju as its next general secretary / CPI (Maoísta) nombra al estratega militar Basavraju como su próximo secretario general.

The Communist Party of India (Maoist) has appointed Nambala Keshav Rao – the leader of its Central Military Commission who is known by the nom de guerre Basavraju – as its next leader, the partyʹs Central Committee said in a statement dated November 10 and signed by its spokesperson Abhay.
Basavraju replaces Muppala Laskhmana Rao alias Ganapathy, a former schoolteacher who became the general secretary of the Communist Party of India (Marxist-Leninist) Peopleʹs War in 1992. The Peopleʹs War Group, as it was usually called, merged with the Maoist Communist Centre of India in 2004 to form the Communist Party of India (Maoist).
ʹIn his 25 years as general secretary, Comrade Ganapathy led the central leadership forward through ebbs and flows,ʹ the party said. ʹHe provided leadership to the revolutionary masses in the face of the enemyʹs counterrevolutionary assaults. He agreed to step down keeping in mind his health problems and limitations posed by age.ʹ
The party said Basavraju has been one of its key leaders for the past three-and-a-half decades, and a member of the central committee for 27 years and a Politburo member for 18 years.
ʹHe has been instrumental in advancing peopleʹs war as a leader of the central military commission,ʹ the statement read. The party said the leadership change has strengthened it and is part of its development process.

Source : SCROOL.IN

"Acerca del Pensamiento de Lenin" por el Comité Bandera Roja de Alemania (1ª Parte)

El Maoísta Nro. 2 - Octubre 2018:






¡Proletarios de todos los países, uníos!

Acerca del Pensamiento de Lenin
Por el Comité Bandera Roja de Alemania

“Hay un marxismo dogmático y un marxismo creador. Yo me sitúo en el terreno del segundo”
- Stalin -

En el presente documento pretendemos demostrar cómo se desarrolló del pensamiento de Lenin, de pensa­miento guía de la revolución rusa a leninismo, segundo etapa de desarrollo del marxismo. Algunos dirán que semejante ejercicio es innecesario y de simple interés histórico, pero pensamos que tales personas se equivo­can, porque la compresión correcta de lo que es un pen­samiento guía es un asunto de vida o muerte para los comunistas del mundo, de victoria o derrota.
Sin una aplicación creadora de la verdad universal del marxismo-leninismo-maoísmo, principalmente el maoísmo, a las condiciones concretas de cada revolu­ción es imposible llevar la revolución hasta el fin, sea ésta de carácter democrática, socialista o cultural y proseguir la marcha hasta el comunismo. Los que ar­gumentan en contra de esta afirmación marxista, no pocas veces sostienen que el caso de la experiencia chi­na, o dicho en forma más precisa, el proceso de lucha del proletariado chino y del Partido Comunista de Chi­na (PCCh), que generó al Presidente Mao Tsetung y su pensamiento, el que luego devino en maoísmo, fue un caso particular del cual no se puede sacar un ley gene­ral; estos, sostienen que “no hubo pensamiento de Marx ni tampoco un pensamiento de Lenin”. Están profunda­mente errados y, en lo que sigue, lo demostraremos con el caso de Lenin.
Para avanzar en el tema consideramos necesario co­menzar por “tener un idioma común” - como lo dijo el Presidente Mao – siendo que hay tanta confusión sobre lo que es el pensamiento guía, por esto partimos de allí.
¿Que es el pensamiento guía?
Es preciso de definir los términos que estamos usando para tratar el desarrollo del marxismo, veamos la dife­rencia entre línea, pensamiento guía e “-ismo”.
Una línea es un sistema estructurado de posiciones - di­ferenciamos entre ideas, criterios, actitudes y posicio­nes. Posiciones son actitudes (tomas de posición) frente a problemas concretos, decisiones que define el actuar, en nuestro caso, de los comunistas y revolucionarios, en los campos ideológicos, políticos, organizativos, eco­nómicos, militares, etc. Cada posición es expresión, de un concepción del mundo, de una ideología y por lo tanto tiene carácter de clase. Cuando un serie de po­siciones son sistematizados en un sistema completa se trata de una linea estructurada (antes que el conjunto de posiciones sean sistematizados se trata de una línea no-estructurada).
Al aplicar la verdad universal del marxismo-leninismo-maoísmo, principalmente el maoísmo a una revolución concreta, sea de un país especifico o la revolución mun­dial, estableciendo el programa de la revolución y su línea política general, los comunistas luchan por esta­blecer las leyes que rige la lucha de clases en el contexto particular.
Hasta allí sabemos que hay una unidad en concepción relativamente grande en el movimiento comunista in­ternacional (MCI).
Todo Partido Comunista tienen su programa y su línea política general – ambos en diferentes grados de elabo­ración, de desarrollo del proceso de la aplicación de la verdad universal de la ideología del proletariado inter­nacional a las condiciones concretas de cada revolución, por tanto; según el grado de desarrollo de su proceso de constitución o reconstitución, pero sin programa y línea política general, no hay Partido Comunista. Aún así, al ver la historia y la situación actual del MCI vemos que no es suficiente – sino que una línea política general correcta, es decir que sistematiza la leyes de la revolu­ción especifica en cuestión, solamente puede existir si es expresión de un pensamiento guía.
El quid del asunto esta cuando vemos como se plasma este proceso en la practica de la lucha de clases y de la lucha de dos líneas por aplicar, ahí la cuestión está en comprender el salto que esto implica.
El pensamiento guía como aplicación del maoísmo uni­versal apunta a las particularidades de una revolución particular, a lo especifico y propio, porque si no coge­mos lo especifico, mal manejaríamos esta revolución que el partido dirige; pero como el partido es una en­tidad compuesta por un sistema de organizaciones, lo hace a través de sus dirigentes, de sus cuadros, de sus militantes que mueven todo el resto de organizaciones. Solo de esta manera serviremos a iniciar y desarrollar la guerra popular, según sea el caso, en la perspectiva de conquistar el poder en todo el país. Son razones emi­nentemente prácticas, razones de exigencia, de deman­das perentorias, necesidades de la revolución (Funda­mentación del Pensamiento Gonzalo, Documentos del I Congreso del PCP no publicados).
Luego pues el pensamiento guía tiene una base ideoló­gica que lo sustenta, porque sin base ideológica no hay nada, porque también un pensamiento encierra cons­trucción, claro que encierra construcción, y sin base ideológica ¿qué construcción puede haber?
En cuanto a la teoría: “como comprende y aplica las tres partes integrantes del marxismo-leninismo-maoísmo, principalmente el maoísmo” ( Fundamentación...). Aquí tenemos un buen ejemplo para destacar que no basta con contar con una LPG y Programa, sí en economía política no se comprende el problema del capitalismo burocrático (en un pais dominado por el imperialismo). O el problema de comprender la responsabilidad fren­te a la propia revolución como parte y al servicio de la revolución mundial como veremos más abajo en el caso de Alemania. Son problema que enfrentan muchos par­tidos para desarrollar el pensamiento guía propio base de toda jefatura.
Luego viene una segunda cuestión: Un pensamiento guía tiene un contenido, más sustancialmente expresa­do en la línea política general y la línea militar que es su centro. Es el problema de las especificaciones, par­ticularmente de la línea política general y la militar. Apuntando al problema del poder. En el país, aunque siendo un pensamiento que se desenvuelve dentro del marxismo-leninismo-maoísmo, necesariamente tiene que estar ¨ligado inextricablemente a la conquista del poder por el proletariado en todo el mundo¨, sino no sería comunista, no estaría inscrito – geométricamente hablando, para que se entienda bien- dentro del mar­xismo-leninismo-maoísmo y con pensamiento guía se mantiene el rumbo del programas.
Dos palabras sobre esto. Parte más sustantiva y más de­sarrollada, la línea política general, eso es en lo que de­bemos estar bien en claro. Ojo: sobre este pensamiento se sustenta la línea y sus cinco elementos, por ende la línea militar como centro. Es decir: ¿Por qué, cómo es que la línea se sustenta en el pensamiento y puede desa­rrollarse una línea política general?
Una tercera cuestión: El Programa, porque el pen­samiento guía “mantiene firmemente el rumbo del programa”.¿Está claro?, son tres cuestiones que hay que destacar.
El quid del asunto esta cuando vemos como se plasma este proceso en la practica de la lucha de clases y de la lucha de dos líneas por aplicar, ahí la cuestión está en comprender el salto que esto implica para plasmar el pensamiento guía, etc.
Es el Presidente Gonzalo quien destacó estas tres cues­tiones en el I Congreso del PCP en su intervención Acerca del Pensamiento Gonzalo y que nosotros hemos presentado aquí en apretado resumen para referirnos al pensamiento guía y seguiremos, más abajo, con lo esta­blecido al respecto en el Primer Congreso del Partido Comunista del Perú.

En la historia podemos ver que aún teniendo progra­ma y linea política general y teniendo excelentes con­diciones para impulsar la revolución, por no resolver los problemas específicos de la revolución en cada país, avanzando más allá de las formulas generales, los comunistas fracasaron en cumplir sus responsabilida­des ante el proletariado y los pueblos del mundo; tene­mos en Alemania un ejemplo muy ilustrativo, tenien­do el Partido Comunista, el segundo más grande del  mundo en ese entonces, incluso con un aparato mi­litar clandestino y altamente desarrollado, el camara­da Ernst Thälmann1 y los otros dirigentes del Partido Comunista de Alemania (PCA), por quedarse en los lineamientos generales de la Internacional Comunista y no desarrollar suficientemente la aplicación del mar­xismo a la realidad concreta de la revolución en Ale­mania, en forma creadora para resolver los problemas nuevos, fracasaron en iniciar y mantener la lucha ar­mada revolucionaria, como resultado el Partido que­do prácticamente aniquilado y sin mayor resistencia ante la bestia fascista del imperialismo alemán, que así pudo lanzar su guerra contra los pueblos del mundo. En la situación actual vemos que hay varios Partidos Comunistas que no avanzan en cumplir sus objetivos, que no dan los saltos necesarios en la lucha revolucio­naria, ya sea para iniciar o desarrollar la lucha armada, eso es la guerra popular, por no avanzar en el proceso de una aplicación creadora de la verdad universal de la ideología del proletariado internacional que resuel­va los problemas nuevos de la propia revolución; será falso de pretender tildar a tutti il mundi como “revi­sionistas”, porque sin bien hay, en diferentes grados y en diferentes formas, problemas con revisionismo, consideramos que el problema, en general, está con lo nuevo, de captar y aplicar creadoramente lo nuevo, el marxismo-leninismo-maoísmo, con el maoísmo como nueva, tercera y superior etapa de su desarrollo a las condiciones específicas de cada revolución.
Fueron el Presidente Mao y el Partido Comunista de China (PCCh) quienes introdujeron el terminó “pen­samiento” para describir un grado de desarrollo supe­rior de la linea del Partido Comunista. En su séptimo Congreso, el PCCh asume el pensamiento Mao Tsetung (usando en tal momento la formulación “las ideas de Mao Tsetung”) y llega en su noveno Congreso a caracterizarlo como universal – definiéndolo como “el marxis­mo-leninismo en la era cuando el imperialismo avan­za hacía colapso total y el socialismo avanza hacía la victoria en todo el mundo”. Pero oficialmente el PCCh no llega a definir que cada revolución debe generar su pensamiento guía especifico. ­
Ha sido el Presidente Gonzalo quien ha elaborado la compresión marxista de qué es un pensamiento guía, partiendo de lo que avanzó el mismo Presidente Mao y el PCCh.
Se plantea en el Primer Congreso del Partido Comunis­ta del Perú:
“En su proceso de desarrollo toda revolución, por la lucha del proletariado como clase dirigente y, sobre todo, del Partido Comunista que enarbola sus irre­nunciables intereses de clase, genera un grupo de je­fes y principalmente uno que la representa y dirige, un jefe de autoridad y ascendiente reconocidos; en nuestra realidad esto se ha concretado, por necesidad y casualidad históricas, en el Presidente Gonzalo, jefe del Partido y de la revolución.
Pero, además, y éste es el fundamento de toda jefa­tura, las revoluciones generan un pensamiento que las guía, resultado de la aplicación de la verdad uni­versal de la ideología del proletariado internacional a las condiciones concretas de cada revolución; pensa­miento guía indispensable para alcanzar la victoria y conquistar el Poder y, más aún, para continuar la re­volución y mantener el rumbo siempre hacia la úni­ca grandiosa meta, el comunismo; pensamiento guía que, llegado a un salto cualitativo de decisiva impor­tancia para el proceso revolucionario que dirige, se identifica con el nombre de quien lo plasmó teórica y prácticamente.” (“Acerca el Pensamiento Gonzalo”)
Siguiendo la fundamentación en el mismo documento el Partido Comunista del Perú (PCP) plantea:
“El pensamiento Gonzalo se ha forjado a lo largo de años de intensa, tenaz e incesante lucha de enarbolar, defender y aplicar el marxismo-leninismo-maoísmo, de retomar el camino de Mariátegui y desarrollar­lo, de reconstitución del Partido y, principalmente de iniciar, mantener y desarrollar la guerra popular en el Perú sirviendo a la revolución mundial y a que el marxismo-leninismo-maoísmo, principalmente maoísmo, sea en la teoría y en la práctica su único mando y guía.

Es necesidad partidaria sustantiva estudiar el pensamiento Gonzalo para una más justa y correcta com­prensión de la línea política general y principalmente de la línea militar, apuntando a profundizar las parti­cularidades de la revolución peruana, lo específico y propio que magistralmente ha destacado el Presiden­te Gonzalo…
Debemos estudiar el pensamiento Gonzalo partien­do del contexto histórico que lo generó; ver la base ideológica que lo sustenta; precisar su contenido, más sustancialmente expresado en la línea política gene­ral y la línea militar que es su centro; apuntar a lo fun­damental en él, el problema del Poder, de conquistar el Poder aquí, en el Perú, ligado inextrincablemente a la conquista del Poder por el proletariado en todo el mundo; y prestar suma atención a su forja en la lucha de dos líneas….”
Especificando el contexto histórico señala, en cuanto a lo internacional:
”... la clave es ver cómo en esa grandiosa lucha de cla­ses a nivel mundial, el pensamiento Gonzalo consi­dera que surge una tercera etapa de la ideología del proletariado: primero como marxismo-leninismo, pensamiento Mao Tsetung; luego, marxismo-leni­nismo-pensamiento Mao Tsetung; y, posteriormente, definirla como maoísmo comprendiendo su validez universal; y de esa manera llegar al marxismo-leni­nismo-maoísmo. principalmente maoísmo como la expresión actual del marxismo.”
En cuanto al contexto histórico nacional:
“… es básico cómo el pensamiento Gonzalo compren­de profundamente la sociedad peruana centrando en el problema crucial del capitalismo burocrático, ve la necesidad de reconstituir el Partido y de conquistar el Poder y defenderlo con la guerra popular.”
En cuanto a base ideológica plantea:
“Sin marxismo-leninismo-maoísmo no se puede concebir el pensamiento Gonzalo, porque éste es la aplicación creadora de aquél a nuestra realidad. La cuestión clave de este punto está en la comprensión del proceso histórico del desarrollo de la ideología del proletariado, de sus tres etapas plasmadas en mar­xismo-leninismo-maoísmo y del maoísmo como la principal; y esencial, principalmente, es su aplicación del marxismo-leninismo-maoísmo como verdad universal a las condiciones concretas de la revolución peruana; de ahí que el pensamiento Gonzalo sea es­pecíficamente principal para el Partido Comunista del Perú y la revolución que dirige.
Habiendo llegado el pensamiento guía a un salto cua­litativo de decisiva importancia para el Partido y la revolución, ha devenido en pensamiento Gonzalo marcando, así, un hito en la vida partidaria.”2
Subraya el PCP además:
“En el pensamiento Gonzalo debemos resaltar el no­table cumplimiento de las exigencias planteadas por el Presidente Mao: solidez teórica, comprensión de la historia y buen manejo práctico de la política.”
Entonces vemos: un sistema de posiciones estructura­das es una línea. Una línea general y una programa de un partido comunista, debe corresponder a las leyes generales de una revolución. Un pensamiento guía se plasma cuando en el proceso de un partido comunis­ta y un revolución particular, por la lucha del partido y el proletariado, en medio de la lucha de dos lineas y la lucha de clases, se resuelve los problemas nuevos es­pecíficos y concretos que se enfrentan y en ello aporta al desarrollo del marxismo, con elementos nuevos. Este proceso toma cuerpo, se materializa en la lucha del par­tido en su dirección, que ejerce un grupo de jefes, entre los cuales – como consecuencia de la ley de la contra­dicción – sobresaldrá uno, que deviene en jefe del par­tido y la revolución.

Es necesario de notar la distinción importantísima que hace el Presidente Gonzalo y el PCP entre “pensamien­to guía”, “pensamiento guía identificado con el nombre del jefe de la revolución” y “pensamiento”, porque cada uno de estos tres términos expresan un diferente grado de desarrollo, según cuantos nuevos elementos contie­ne, verificados en la práctica del partido y la revolución que dirige, al desarrollo del marxismo. El Presidente Gonzalo y el PCP, no plantea que cada revolución ne­cesariamente genera un pensamiento guía que llega al grado que ha tenido, por ejemplo, el mismo pensa­miento Gonzalo, se identifica con quien lo ha generado,desarrollo que no es posible que se de con cada pensamiento guía­, pero que sí cada revolución debe generar una aplicación creadora que resuelve sus problemas es3pecíficos, manejando las leyes particulares de cada rea­lidad particular lo que implica un salto en la aplicación específica. ­

Falta definir la diferencia entre un pensamiento guía en su forma mas desarrollada, como es el caso del pen­samiento Gonzalo y un “-ismo”. Para manejar correc­tamente la definición, partimos de lo que estableció el PCP en el documento Sobre el marxismo-leninismo-maoísmo:
“Sin embargo, mientras el marxismo-leninismo logró reconocimiento de su validez universal, el maoísmo no es reconocido plenamente como tercera etapa; pues, mientras unos niegan simplemente su condi­ción de tal, otros sólo llegan a su aceptación como “pensamiento Mao Tsetung”. Y, en esencia, en ambos casos, con las obvias diferencias que entre sí tienen, niegan el desarrollo general del marxismo hecho por el Presidente Mao Tsetung; no reconocerle su carácter de “ismo”, de maoísmo, es negarle vigencia universal y, en consecuencia, su condición de tercera, nueva y superior etapa de la ideología del proletariado inter­nacional: el marxismo-leninismo-maoísmo, princi­palmente maoísmo que enarbolamos, defendemos y aplicamos…
El marxismo tiene tres partes: filosofía marxista, economía política marxista y socialismo científico; el desarrollo en todas ellas que genere un gran salto cualitativo del marxismo en su conjunto, como uni­dad a un nivel superior implica una nueva etapa. En consecuencia, lo esencial es mostrar que el Presidente Mao ha generado, como puede verse en la teoría y en la práctica, tal gran salto cualitativo…es con la GRCP que se difunde intensamente y su prestigio se eleva poderosamente y el Presidente Mao pasa a ser reconocido jefe de la revolución mundial y generador de una nueva etapa del marxismo-leni­nismo...”
Así, la diferencia entre un pensamiento guía, particular­mente en su forma más desarrollada, como pensamiento gonzalo, que implica un ¨salto cualitativo de decisiva importancia para una revolución” (Sobre el Pensamien­to Gonzalo, PCP, I Congreso, documento público), e “-ismo” no es que el primero simplemente será un asun­to de importancia especifica muy particular por la reali­dad concreta de un país – porque al resolver problemas nuevos aporta al tesoro del marxismo en general – sino que no ha plasmado “un gran salto cualitativo del marxismo en su conjunto, como unidad”, es decir en el desarrollo de sus tres partes integrantes, que signifique que estamos ante una nueva etapa del marxismo. Cuan­do el pensamiento da este gran salto cualitativo toma el carácter de “ísmo”, para señalar el valor universal de su conjunto como nueva etapa del marxismo. ­
Nuevamente, en lo que acabamos de exponer, vemos que la clave para diferenciar entre pensamiento guía, pensamiento gonzalo e “ismo” o nueva etapa de nuestra ideología universal del proletariado es comprender el salto y el salto es clave en la contradicción. Porque cual­quier solución de un problema nuevo de la revolución proletaria mundial significa un aporte al marxismo-le­ninismo-maoísmo, esto plasma cualquier pensamiento guía, sino no es tal, en su forma más desarrollado da importantes aportes como es el caso del pensamiento gonzalo, que son importantes aportes a la ideología universal del proletariado, por eso estos aportes tienen carácter también universal y, por ser soluciones a pro­blemas nuevos, aporta a un nuevo desarrollo del mar­xismo y por lo tanto a una nueva etapa, pero no es un “-ismo”, porque estos aportes de valor universal no han significado un nuevo desarrollo en cada una de sus tres partes integrantes y por tanto en su conjunto, que hayan elevado el marxismo a una nueva etapa. Como veremos luego en las partes que citamos de la exposición del Pre­sidente Gonzalo Acerca del Pensamiento Gonzalo en el I Congreso del PCP, documento no ´publicada del Con­greso:
“Pero lo importante está en la parte final (del docu­mento, después de tratar el contexto internacional en Sobre el pensamiento gonzalo, PCP, I Congreso, do­cumento publicado) donde dice: `pero la clave es ver como en esa grandiosa lucha de clases a nivel mun­dial, el pensamiento Gonzalo considera que surge una tercera etapa de la ideología del proletariado: pri­mero como marxismo- leninismo, pensamiento Mao Tse tung; luego, marxismo- leninismo- pensamien­to Mao Tse tung; y, posteriormente, definirla como maoísmo comprendiendo su validez universal; y de esa manera llegar al marxismo-leninismo-maoísmo, principalmente maoísmo como la expresión actual del marxismo´”.
En cuanto al Pensamiento Gonzalo: “ (...) La cuestión clave de este punto está en la comprensión del proceso histórico del desarrollo de la ideología del proletariado, de sus tres etapas plasmadas en marxismo-leninismo-maoísmo y del maoísmo como la principal; y esencial, principalmente, es su aplicación del marxismo-leninis­mo-maoísmo como verdad universal a las condiciones concretas de la revolución peruana de ahí que el pensa­miento Gonzalo sea específicamente principal para el partido comunista del Perú y la revolución que dirige (…) la comprensión del proceso histórico del desarro­llo de la ideología del proletariado”, esto es clave, como comprende el proceso que ha seguido la ideología del proletariado internacional que lleva, ¿a qué?, a maoísmo como principal; esa es la base que lo sustenta, por eso es lo principal, sin eso no hay nada(...) “aplicación del marxismo-leninismo-maoísmo como verdad universal a las condiciones concretas de la revolución peruana”. Eso es lo esencial, no basta con decir que lo principal es tomar el marxismo-leninismo-maoísmo, si no va agre­gado a que lo esencial principalmente es la aplicación a la condición concreta no tiene sentido el pensamiento Gonzalo, las dos cosas hay que ver, y esto en estricta aplicación de lo que el presidente nos ha enseñado, que el problema del marxismo es su aplicación y eso es lo que enseño Lenin y eso es lo que enseño Marx; creo que esta parte debe tenerse muy en cuenta y es esen­cial; quítesele eso y se le quita la esencia al pensamiento Gonzalo, no tendría esencia.
Luego, repárese en lo que dice: de ahí, de tomar esa base, el maoísmo, de esa aplicación que es esencial, ¿Qué de­riva?, “que el pensamiento Gonzalo es específicamente principal para el partido comunista del Perú y la revo­lución que dirige”. Aquí la palabra es “específicamente”, eso es lo que hay que coger aquí, porque si no dijera “específicamente principal”, entonces camaradas esta­ríamos negando que lo principal es el marxismo-leni­nismo-maoísmo, ¿entienden lo que quiero decir? Seria no ver su valor universal y eso no podríamos hacer, para ser comunistas primero tenemos que ser marxista-leni­nista-maoístas y como somos actuantes en este país que se llama Perú, esencial es aplicarlo aquí en el Perú, pero sin lo primero no cabe lo segundo. De ahí deriva esto: el pensamiento Gonzalo es principal para el partido, si, específicamente, ¿Qué quiere decir?, en cuanto apli­cación, en cuanto necesidad de nuestra revolución, en este caso específico, para esta cuestión concreta; y de esa manera no cabe en modo alguno soslayar el marxismo-leninismo-maoísmo porque es la verdad universal y esa es la fuente de la cual siempre tendremos que beber”.
Ahondando más en la relación entre pensamiento guía y maoísmo, el Presidente Gonzalo dice:
“(...) no se puede nunca plantear un pensamiento si no se tiene en cuenta la verdad universal del cual es parte integrante”.
“Contenido del Pensamiento Gonzalo. a.Teoría.- De­bemos saber ubicar bien el pensamiento Gonzalo: es una especificación de nuestra revolución, de nuestro proletariado, de nuestro partido, de la lucha de cla­ses y de la guerra que es su forma superior, y debe vérsela así; entonces, si lo vemos específicamente de esa manera, nuestro problema no es ponerlo a ni­vel del marxismo-leninismo-maoísmo porque eso no puede ser, es un craso error, nunca lo podríamos cometer, nunca camaradas, no podemos confundir las cosas. Al tratar teoría, lo que tenemos que ver es como se maneja, como se aplica la teoría del mar­xismo-leninismo-maoísmo en sus tres partes inte­grantes; si aporte hubiera, eso es hoy subsidiario, si mañana se desarrollara, mañana no es hoy. Creo que debemos ser muy claros y muy concretos, entender bien, más cuando planteamos teoría, la teoría, por­que ahí estamos hablando – repito- de las tres par­tes integrantes, de la verdad universal y solamente ahí podemos entonces pensar en cómo se la aplica, como se la maneja; si aportes hubiera, el tiempo lo dirá. Para mí esto es clave camaradas, cosa distinta es el problema sobre el contenido –esto lo vamos a ver-, hay una diferencia. (¡Ojo! Ver la diferencia que hace entre teoría – las tres partes integrantes, donde ahí cabe pensar en cómo se aplica- y contenido del pensamiento gonzalo)
En cuanto a la teoría ¿Qué dice?, por eso plantea: “como comprende y aplica” –por eso dice así-, “como comprende y aplica las tres partes integrantes del marxismo-leninismo-maoísmo, principalmente el maoísmo”, eso es lo que dice, aquí no dice como desarrolla. Creo que hay que ser objetivo y si hay perspectivas, puede verse perspectivas, pero para mí, perspectiva es perspectiva, primero tiene que tratar­se la perspectiva para decir esta ya es realidad (...)No dar como realidad lo que es perspectiva. Pero en esto de teoría se debe tener sumo cuidado porque se trata de la verdad universal, hay que ser sumamente cau­tos y cuidadosos por eso dice así: “como comprende y aplica”.
En la parte Sobre Contenido, el mismo Presidente Gonzalo, establece la relación entre los aportes de va­ lidez universal del pensamiento gonzalo y el maoísmo: b.“(...)Llegados al punto del contenido del pensamien­to gonzalo – estamos hablando de la parte que dice “más sustantiva y más desarrollada” es la línea políti­ca general- pues bien aquí el problema ¿Dónde está?, en las especificaciones de nuestra línea, de lo que con­sideramos típico o peculiar de nuestra revolución con toda la perspectiva que pudiera tener o tiene en algu­nos puntos. Por eso pasamos simplemente a enumerar las especificaciones de la línea política general y apor­tes a la revolución mundial que debemos resaltar. Les decía que hay que ponerlo en la línea; camaradas, lo primero es teoría universal, mucho cuidado con esto; si hay aportes véaselos en la línea política general que es la parte sustantiva o más sustantiva, más desarrolla­da. Por eso es que aquí planteamos de esa manera: es­pecificaciones de la línea política general y aportes a la revolución mundial que debemos resaltar”. Lue­go pasa a enumerar los aportes de validez universal del pensamiento gonzalo a la revolución mundial, conteni­dos en los cinco elementos de la LPG, por ende la línea militar como centro.

jueves, 29 de noviembre de 2018

TURQUÍA - Declaración del TKP / ML sobre la Guerra Civil en Siria.


23 de noviembre de 2018

A continuación, documentamos una declaración importante para una visión general y una mejor comprensión de la Guerra Civil Siria del Partido Comunista de Turquía / Marxista-Leninista:

[Fuente: ikk-online.org]

Una breve descripción de la guerra civil siria

La crisis económica, en la que el sistema capitalista-imperialista continúa haciéndose sentir más estructuralmente cada día, lleva al desplazamiento de algunas piedras en el mundo. Sin lugar a dudas, la "herida sangrante" del mundo, el Medio Oriente se encuentra al principio de estas piedras. Por un lado, la reestructuración se mueve, por otro lado, el miedo a la "era de los levantamientos del siglo XXI" dirigió una vez más las flechas de los imperialistas hacia el Medio Oriente.

Los imperialistas, conscientes de que nada volverá a ser lo mismo, intentaron fortalecer las áreas de dominio o romper el dominio de sus rivales en las semicolonias donde los obligaron a pagar la factura después de la crisis económica de 2008, cuyo epicentro fue Estados Unidos. Debido al hecho de que no están en condiciones de afrontar una nueva guerra mundial, los imperialistas recurrieron a las guerras regionales sin perder ninguna oportunidad. La primavera árabe, que debe leerse como una ira creada por la crisis, comenzó en 2009 y se ha vuelto tan escasa como los dientes de gallina para los imperialistas y comenzaron a liderar con su propio bien los levantamientos populares "sin líderes". Los imperialistas, que estaban más involucrados en este proceso con movimientos políticos, se volvieron más activos en el campo militar al calor de la Primavera Árabe en el Medio Oriente y especialmente en Siria.

En esto, el debilitamiento de la hegemonía de Estados Unidos en el mundo, las contradicciones entre los imperialistas de la UE y la posición más fuerte de Rusia y China con aspectos económico-político-militar son factores poderosos.

Junto con la guerra civil siria, todos trataron de obtener una parte del pastel, especialmente en el primer proceso en el que la eficacia de DAESH aumentó, las posiciones se afinaron. Sin embargo, en el proceso, el indicador comenzó a estar más a favor de ”Assad-Russia”. Es útil recordar brevemente los desarrollos hasta este proceso.

Las manifestaciones contra Assad  y su régimen comenzaron en Dera, Siria, el 15 de marzo de 2011, bajo la influencia de la Primavera Árabe, se armaron con el movimiento de las fuerzas armadas que surgió como "Oposición (!)" Y el país se encontró en una guerra civil. Sin lugar a dudas, la "Oposición" que surgió en este proceso ha progresado bajo el mando del imperialismo e inmediatamente DAESH ha aparecido en escena. Durante este período, los EE. UU. no retrasaron la intervención contra Rusia, que era poderosa en la región, y el primer apoyo para la oposición vino de este lado. El factor más importante que dio origen a este proceso fue la ausencia de líderes y las características no organizadas de los levantamientos populares en Siria con los lemas de la democracia, la libertad, la vida humana y la intención de abordar el liderazgo de algunos que se acercaron al imperialismo cuidando su propio bien.

Especialmente con el incendio de DAESH, Siria ha regresado por completo al río de sangre, este fue un proceso en el que algunas partes de las áreas que los oponentes eliminaron de "Assad" han estado bajo el control de DAESH. En este proceso y más adelante, se presentaron las teorías que afirman que DAESH fue creado por los propios Estados Unidos y también se afirmó que los Estados Unidos proporcionaban todo tipo de apoyo. Aparte de su anillo de verdad, es precisamente en este proceso que el apoyo en materia de armas, capacitación y financiamiento proporcionado por el TR se ha reflejado en los desarrollos que subrayan esta tesis.

Sin lugar a dudas, a medida que el proceso avanzó hacia un completo caos, la resistencia del pueblo kurdo bajo el liderazgo de YPG contra DAESH en el Kurdistán sirio, se ha convertido en uno de los puntos de inflexión y casi todos han tomado la dirección allí. Cada lugar tomado de DAESH ha hecho de los kurdos un tema fuerte en el campo. De hecho, casi todos los cálculos se hicieron de nuevo y surgió un nuevo período cuando el régimen de Assad comenzó a reagruparse y aumentar sus contraataques. Pero lo más importante es que Rusia y los Estados Unidos han participado más activamente en el proceso con ataques aéreos. Por otro lado, Irán no dejó de involucrarse en el proceso, ya que tanto el camino militar como el político a su vez iban llegando a Siria debido a la relación entre casi todos los opositores de Assad y los imperialistas "occidentales". En la Guerra Civil Siria, los propietarios de intereses, por supuesto, hicieron que los trabajadores pagaran la factura como de costumbre.

Cuando se vivía en los territorios de los soberanos (sultanato), el pueblo se enfrentaba a masacres e inmigración. El conflicto entre facciones dio lugar a un proyecto de ley que fue obligado a pagar por el pueblo trabajador sirio con el mayor dolor. Principalmente debido a la tortura contra la dignidad humana, los cañones de armas que dirigen a las personas sin importar la edad y el género, la violación de las mujeres y la violencia. La región se ha transformado en una geografía inhabitable. Indicar el balance actual desde el comienzo de la guerra civil es suficiente para revelar la gravedad de la situación.
Existe una realidad bélica que, con la excepción de 56.900 personas que aún estaban desaparecidas desde el comienzo de la guerra civil y 353.900 personas murieron, 119.200 de las cuales eran civiles, el hecho de que el conflicto entre los soberanos (sultanato) hizo que la gente pagara la factura en la que 1,5 millones de personas resultaron heridas de diversas maneras y 12 millones de personas emigraron fuera del país.

Nuevo desarrollo en Siria: Alianzas

Aunque no puede proporcionar un control total en sentido estricto, existe la realidad de que el régimen de Assad está en una posición más fuerte que ayer con el apoyo de Rusia. Rusia comenzó a establecerse en el Medio Oriente en el contexto de Siria. Por otro lado, los Estados Unidos, especialmente debido a su relación con PYD / YPG, ha creado un área importante en Siria. Sin embargo, él no pudo manejar el proceso y ella no pudo romper la influencia de Rusia. Es demasiado pronto para decir que todavía hay cierto ganador, pero se sabe que la Guerra Civil Siria se mantendrá en la agenda por más tiempo. Aunque no está del todo claro el proceso que llevará la relación de PYD / YPG con los Estados Unidos, por otro lado, no cierra sus puertas con Rusia / Assad.

Las ganancias del movimiento nacional kurdo en el Kurdistán sirio están subestimadas. Sin embargo, es importante proteger estas ganancias. Si bien la relación con los Estados Unidos es un tema de debate, los esfuerzos de los Estados Unidos para aprovechar al máximo esta alianza en la etapa actual son bastante evidentes. En el frente ruso, dejamos atrás un período de nuevas conversaciones de alianzas. Recientemente, la reunión entre Rusia-Irán y Turquía celebrada en Astana llamada "Solución permanente en Siria" no ha dado los resultados deseados, y las otras puertas han sido golpeadas para nuevas alianzas. En este contexto, Rusia-Alemania-Francia y Turquía celebraron una La "Cumbre del Cuarteto" organizada por Turquía para discutir el futuro de Siria. Aunque los temas fueron "la integridad territorial" de Siria, "regiones de reducción de la tensión" y "no dañar la seguridad nacional de los países vecinos", casi todos los participantes interpretaron estos temas en su propio interés. Si bien el problema de los refugiados y los flujos migratorios parecen ser las prioridades de Alemania y Francia, es necesario ver que esto es una oposición y tratar de obtener un papel de manera indirecta contra las políticas de los Estados Unidos. En resumen, esta cumbre debe interpretarse como un intento de abrir un área de iniciativa para ellos. Rusia, como siempre, se enfoca en unirse con todas las potencias que surgen de las contradicciones para socavar la política siria de los EE. UU. Crear oportunidades para allanar el camino para su propia política. Aunque la discusión sobre la integridad territorial de Siria es el principal argumento de esta política, Rusia puede implementar con flexibilidad los polos opuestos, con una forma temporal de caminar y dominarlos.

Situación en Turquía en los Términos de los Planes sobre Siria

El gobierno turco que trazó su peculiar línea roja con su actitud "Nos opondremos a un estado kurdo, incluso si se funda en América Latina", comenzó a ser más activo en el campo, especialmente contra el movimiento de resistencia en Kobane. Las expectativas de Tayyip Erdogan expresadas en su afirmación de que "Kobane está a punto de caer" resultaron ser infundadas, y los cantones que surgieron en la región resultaron ser un proceso que Turquía considera intolerable. Al encontrar inaceptables incluso las ganancias más pequeñas de los kurdos en la región, y mucho menos la fundación de Kurdistán, no se puede esperar que Turquía no intervenga en el proceso. De hecho, intentó intimidar con su operación Euphrates Shield, pero obtuvo respuesta a su política de no permiso a través de la ocupación de Efrin.

El primer tema que Turquía debería revisar es que la posición que ocupa en Siria no es "independiente" a pesar de los imperialistas. Nada ha cambiado para los lame-botas del imperialismo estadounidense, porque el "cambio de eje" que alegan no tiene fundamento. Turquía interviene en el proceso utilizando las disputas entre los imperialistas. Es muy probable que esta intervención le cueste mucho. La declaración de Tayyip Erdogan de que "nos estamos moviendo con sudarios en nuestro bolsillo" es la expresión más clara de esta situación. Su coqueteo con Rusia a pesar de los Estados Unidos no puede definirse de otra manera. Y está a la vista cómo los Estados Unidos hacen un ajuste fino a Turquía cuando este último toma la iniciativa. Después de que Turquía compró los S-400 a Rusia, estableció relaciones con Irán y estuvo involucrado en el incidente del pastor Branson, los EE. UU. Hicieron algunos ajustes a la economía y la política turcas, que están perjudicando a Turquía en el presente. Pero no parece haber renunciado a su ambición de intervenir. Las clases dominantes de Turquía van y vienen como una pelota de tenis entre los imperialistas estadounidenses y rusos en términos de sus políticas de Siria y Rojava y pretenden actuar como un Intermediario para el juego diseñado.

Ocupan Efrin con el permiso de dichos imperialistas, por un lado, y dan mano a Rusia para liquidar las fuerzas yihadistas en el oeste del Eufrates con el objetivo final de aumentar sus fichas para negociar con los Estados Unidos en el este del Eufrates, por otro lado. El eje de todos estos enfoques es disminuir y, si es posible, erradicar las ganancias de los kurdos como nación. Las políticas seguidas por Turquía en Idlib y Minbic son objetivos que pretende lograr a través de negociaciones con los imperialistas. Especialmente los llamados logros de sus operaciones militares, la política de hostilidad perseguida por los imperialistas contra las naciones oprimidas al final del día, y ponerse del lado de las naciones opresoras son todas circunstancias favorables para las clases dominantes de Turquía.

El proceso de Astana y las declaraciones de "áreas libres de conflicto" e "integridad territorial de Siria" expresadas en la reciente cumbre cuadripartita son promesas vacías que se han demostrado por la propia experiencia de Turquía.

Las clases dominantes de Turquía alegan en cada oportunidad que las fuerzas turcas están en Siria solo para proporcionar democracia al pueblo sirio, pero atacan a las masas de trabajadores en su propio país con la crueldad típica del fascismo. Esta dictadura fascista lucha por superar la actual crisis económica y política, por un lado, y comete ataques multidireccionales y multidimensionales a las masas, especialmente a la masa democrática revolucionaria para manejar la crisis y superarla con el mínimo daño. El objetivo principal de estos ataques al por mayor cometidos por los fascistas es el Movimiento Nacional Kurdo, que persigue la política de búsqueda y destrucción contra los grupos armados, especialmente los guerrilleros. Su política fascista, invasiva y agresiva contra los derechos nacionales de los kurdos y sus campañas de chovinismo están allí para destruir la conciencia colectiva de las masas y usar su veneno para realizar todas sus políticas reaccionarias.

Esta política de agresión es impuesta por las circunstancias, es una expresión de la calle sin salida en la que se encuentran los fascistas, y el producto final de la fuerza que obtuvieron de la oposición social en receso que intentan intimidar.

Aunque continúan haciendo la propaganda de que el producto interno bruto crece constantemente, la verdad es todo lo contrario. Las solicitudes presentadas por algunas de las principales compañías para la composición y la reducción de personal realizadas por otras compañías indican las oleadas preliminares de la crisis económica. A pesar de la reciente declaración de Erdogan de que los precios de la carne son altos debido a la alta demanda, la clase proletaria solo lucha por sobrevivir el alto costo de la vida. El indicador más prominente de la situación actual es la gran pérdida sufrida por Turquía después de haber alcanzado un alto nivel frente a los EE.UU. El tipo de cambio por US $ se disparó en un abrir y cerrar de ojos, actuó en proporción inversa con el poder adquisitivo de la gente y empuja a la gente hacia el acantilado.

Aunque las "alianzas sucias" establecidas para la continuidad del estado acaban de romperse, todavía no dudan en cometer todo tipo de ataques a las masas. El mayor temor del gobierno en el momento actual de las luchas políticas es que la crisis económica podría fortalecer a la oposición. Y hay señales que muestran que las reacciones individuales actuales han comenzado a recurrir a una reacción colectiva. Siguiendo una política paralela en el país y en el extranjero para la cuestión de la nacionalidad de los kurdos, las clases dominantes de Turquía decidieron dañar a los grupos más dinámicos a través de su ejército.

El poder en ambos reinos.
Intoxicados con la victoria de Efrin (!) En el extranjero, las clases dominantes alegaron que plantarían la bandera turca en Kandil en la atmósfera de las elecciones generales, pero su automóvil se atascó en el barro antes de llegar a las colinas de Brados. En el proceso de solución, las clases dominantes sacaron el concepto de ataque de su sombrero usando el intento de golpe de estado el 15 de julio como pretexto. Hicieron todo lo posible para iniciar incendios en cada parte de este país, especialmente en el Kurdistán turco. Es verdad que Turquía es ahora un país donde se suspenden todos los derechos democráticos y se prohíben los mítines, donde incluso la participación más pequeña en las redes sociales puede ser causa para ser tomado bajo custodia, donde las prisiones y los cementerios están abarrotados. Esta ola de ataque es un resultado natural de la crisis sufrida por las clases dominantes, y aunque disgusta a las masas, todavía no se ha convertido en un movimiento, pero la experiencia previa demuestra que algún día lo hará.

El mayor temor de las clases dominantes es tener otro Movimiento Gezi en sus manos. Todas estas manipulaciones, intimidaciones y opresión se cometen para evitar que se convierta en un movimiento. En este punto, no es sorprendente observar que los ataques más severos se cometen contra grupos armados, especialmente los guerrilleros. Porque las actuales disputas económicas, sociales y políticas son serias. Basta con que las clases trabajadoras, el proletariado, los kurdos como nación y los grupos minoritarios exijan libertad. La rabia y el odio causados por estas disputas preocupan a la dictadura fascista. Si el entorno actual donde sopla fuerte la liquidación y el viento reformista hace que la dinámica se encuentre con un espíritu revolucionario y determinación para combatir el fuego con fuego, será el principio del fin para las clases dominantes y el comienzo de la ruptura de las cadenas que se unen los oprimidos.

Ahora estamos en uno de los procesos más oscuros jamás vividos. Pero no hay nada que temer. Las esperanzas para la luz del día deben mantenerse vivas. Porque la hora más oscura de la noche es justo antes del amanecer. Todo lo que necesitamos es el coraje de caminar de la oscuridad a la luz.

TKP / ML 
(Partido Comunista de Turquía / Marxista Leninista)